750 grammes
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logistique love

18 novembre 2011

HOT BISES BONNE JOURNEE

BISES

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17 novembre 2011

HELLO

HAVE A GOOD WEEK END

HOPE TO SEE YOU  BEGINNING OF NEXT WEEK

 

BISOUS HOT

15 novembre 2011

EMMANUELLE OK

do you have a good day

 

bises

7 octobre 2011

HISTOIRE

L'élue de mon cœur s'appelle Flore. Avec un prénom si sensuel, elle est l'unique fleur, la seule que j'aime vraiment butiner et rendre heureuse. J'en suis toujours aussi amoureux qu'au premier jour.
Nous nous sommes connus au lycée. Nous étions ensemble en seconde et sommes du même âge. De la seconde à la fin de la première, comme tous les ados nous flirtions. Après quelques mois, nos flirts devenant plus poussés, aboutissaient à des orgasmes résultats de nos réciproques masturbations.
Nous aimions lors de nos révisions alterner ces doux moments sans jamais aller plus loin. Flore se refusait à sauter le pas que, parfois, j'essayais de lui faire franchir, seuls mes doigts connaissaient son intimité. Elle était devenue experte dans la manière de me contenter en me caressant d'un rythme dont elle avait le secret. Elle prenait son temps avec les préliminaires essayant de me surprendre. Elle variait les plaisirs, savait me faire venir en apothéose. J'explosais de toutes manières avec toute la violence et l'énergie de cet âge. Sa bouche et sa langue sans appréhension savaient y faire et chaque fois je trouvais qu'elle s'y prenait de mieux en mieux. Je l'ai toujours respectée et c'est sans doute sur ces bases relationnelles que nous avons pu bâtir une relation qui, à ce jour, perdure.
C'est aussi à cette époque qu'elle s'est mise à aimer mon sperme onctueux. À vrai dire, la première fois, elle l'avait recraché, surprise par son goût âcre puis elle apprit à le faire gicler au fond de sa gorge afin de diminuer l'effet du goût sur sa langue : Une manière comme une autre de me faire plaisir, de me montrer sa reconnaissance. Lorsque je caressais Flore, je remarquais qu'elle devenait très rapidement humide et je ne me lassais pas de boire son nectar si délicat et délicieux. Flore est une femme à cyprine, une femme qui, lorsqu'elle se donne, laisse échapper de son corail ce petit filet nacré au goût salé. Il ne faut pas confondre, comme on peut le lire trop souvent, la cyprine avec le jet transparent qui gicle de l'urètre des femmes dites fontaines; ce ne sont ni les mêmes glandes ni les mêmes orifices. Nous avions et avons toujours un appétit sexuel assez développé, tentant de déceler ce qu'il y a de meilleur pour l'autre, d'être à l'écoute de la moindre réaction de nos corps, de nous procurer nos plus exaltantes vibrations.
À cette époque, nos parents ont très vite compris que nous n'avancerions dans nos études qu'à la condition de vivre ensemble et pour cela nous les remercions pour leur intelligence. Nous vivions l'année de terminale à mi-temps entre chez elle et chez moi.
C'était en septembre, le jour de ses 17 ans, qu'elle avait décidé de s'offrir à moi. Ses parents étaient en vacances et nous avions toute la maison pour nous. Seul le chat aurait pu nous surprendre. Je l'avais prise sans brusquerie trop occupé à déployer toute ma science sur la douceur, lui faisant monter tranquillement son désir par des caresses plus ou moins rapides qui, toutes, virevoltaient sur sa peau, sur ses seins si bien galbés, ne me ruant surtout pas sur son intimité justement pour me laisser désirer. Je m'approchais et m'éloignais de sa vulve qui, lentement, s'ouvrait laissant échapper sa sève. Mes mains affolaient ce corps qui s'abandonnait. Je la butinais de mes lèvres frémissantes, évitant de toucher son écrin de velours toujours pour mieux l'étonner le moment venu. Je sentais son désir croître, ses seins se durcir, ses reins se cambrer et n'en pouvant plus, sa peau frissonnante de désir, Flore me guidait vers sa porte intime. Je me sentais investi de toute une responsabilité : Ne pas la décevoir. Une première fois reste gravée en nous ! Doucement, je m'introduisais ne sachant pas trop encore si je pouvais la pénétrer en entier ou s'il fallait m'arrêter avant qu'elle ait un recule de douleur. Durant cette sensuelle découverte je m'occupais de ses tétons en érection. Je sautais de l'un à l'autre, les malaxant entre mes lèvres, les pinçant, les titillant pour le plus grand bonheur de Flore. Elle faisait osciller sa tête de gauche à droite, son corps ondulait sous mes délicats coups de reins. Elle m'accompagnait calquant mon rythme qui inexorablement s'accélérait. Elle ne voulait pas elle non plus manquer ce formidable rendez-vous. Mes mains l'avaient soulevée et pétrissaient ses fesses si fermes la plaquant encore plus fort sur mon dard tout en amplifiant la quête de sa délivrance tant attendue. Nous n'avons pas joui au même instant, d'ailleurs est-ce vraiment une obligation ? Mais, par ma mise en confiance, mon attention je suis sûr que, ce jour là, Flore eut le premier vrai orgasme vaginal de sa jeune vie. Flore venait d'être définitivement déflorée. J'ai su par la suite qu'elle en gardait un très bon souvenir parce que j'avais su dissiper toutes ses angoisses et ses craintes. Nos relations sont toujours à ce jour empruntes d'attention.
Entre nos révisions, nos devoirs du soir, nous aimions ces superbes moments de jouissances. En ce bas monde, rien ne peut remplacer cette incommensurable distraction. Nous abordions très souvent ce sujet et, petit à petit, nos personnalités se sont forgées. Nous avons pris conscience que, dans cette quête de douceur, de volupté nous n'aurions pas d'interdits. Nous n'avons aucun tabou et nous ne nous mentons jamais. Ce qui est librement consentit ne peut être perversion. Nous sommes épicuriens et carpe diem essayant de tirer toute la quintessence du moment présent. Ces interdits ont toujours été dictés par certaines morales religieuses. À partir du moment où les deux sont consentants il n'y a pas de mal à agir. Le fait d'être toujours disponible pour l'autre, animés dans chacun de ces moments de la même fougue, décuple notre désir, notre volonté de nous aimer chaque fois plus intensément. Le plaisir d'être tout pour l'autre, d'être tout dans l'autre à travers nos découvertes, nos initiatives renforce nos liens, nos connivences.
Nos vies étudiantes continuèrent leur bonhomme de chemin. Flore est devenue infirmière en bloc opératoire assistante d'un chirurgien de renom et moi je travaille dans l'informatique. Chacun de notre côté, nous nous sommes autorisés à pouvoir vivre des aventures sans lendemain; nous nous les évoquons sans jamais nous les raconter. Nous nous disons seulement avec qui, où et quand, sans autre forme de discours. Nous arrivons à nos trente ans passés et c'est certainement, cette tolérance, qui fait que notre couple fonctionne avec intensité. Ces quelques aventures nous redonnent de la force, nous stimulent, cimentent notre union, nous faisant prendre conscience que tous les deux nous ne sommes qu'un.
Parfois, elle revient de son travail et sa petite culotte de coton dentelé Lejaby (C'est sa marque préférée) est encore toute trempée car elle a trop mouillé; l'anesthésiste du bloc y est pour quelque chose, je le connais le bougre avec ses mains baladeuses ! C'est un adepte des petites caresses furtives, insolentes, sous les blouses surtout lorsque les filles, venant de se laver les mains, attendent, les avant-bras levés, d'entrer dans le bloc. Il en profite toujours avec le sourire, lançant une bonne blague qui détend l'atmosphère avant une intervention qui requiert toute leur concentration, tout leur professionnalisme. Elle ne s'en cache pas. Elle m'a même dit que l'autre jour une nouvelle collègue était entrée dans leur équipe, une superbe petite brunette. Il se risqua et se prit une claque de première. Elle fut quitte à se laver les mains à nouveau. Les filles lui expliquèrent que ce n'était pas bien grave, qu'il était comme cela et qu'il valait mieux qu'elle s'y fasse. Dans le bloc, ils ont une telle responsabilité qu'ils se doivent d'avoir une sorte de soupape de sécurité. Parfois, dans un recoin, Flore se laisse aller expéditivement avec lui pour s'enlever du stress. Je sais qu'il n'y a rien de plus entre eux.
À la suite de cette situation, lorsqu'elle rentre à la maison, elle me l'avoue toujours. Ce qui est formidable c'est que, sa douche prise, j'ai une Flore amoureuse et languissante qui va m'attendre sur notre couche et ce sera une soirée merveilleuse, comme si elle voulait se faire pardonner. C'est la différence entre baiser et faire l'amour. Nous en connaissons très bien la portée et les limites.
Flore est une belle femme avec de magnifiques longues jambes bien galbées qui me prennent tout un temps pour les parcourir, pour les caresser à la recherche de sa superbe corole si bien dessinée ornée seulement d'un mince triangle isocèle de six à sept centimètres de haut de soie brune toujours bien taillé. Ses seins en forme de jolies pommes bien rondes sont appétissants à souhait, fermes et toujours pointés. Le grain de sa peau est soyeux et légèrement halé. Flore est une femme que l'on remarque justement parce qu'elle ne se fait pas remarquer. Elle est toujours très bien habillée mais de façon simple. Elle alterne le pantalon, la jupe avec chemisier ou la robe, souvent évasée, toujours au dessus du genou mais sans jamais être provocante. C'est dans cette tenue que je la trouve la plus sexy, surtout lorsque le vent, un brin coquin, apporte un plus à sa sensuelle démarche. Parfois il lui arrive d'être habillée très court mettant en valeur ses jambes et je vois bien, lorsque je suis avec elle, que certains voire certaines la regardent. Très souvent, elle porte des chaussures plates et arrange ses cheveux bruns en queue de cheval ou chignon mettant en valeur un superbe visage, tout en équilibre avec des traits fins et doux, de grands yeux marron foncé, des lèvres bien dessinées et invitantes à souhait... Jamais de maquillage ou très peu, elle n'en a pas besoin.
Nous passons toujours du temps dans nos relations, toujours très attentif envers l'autre et sommes devenus experts dans nos jeux amoureux. Nous avons une parfaite connaissance de l'autre. Nous avons eu le temps d'apprendre nos corps, d'être à leur écoute. Nous sommes, et cela est essentiel, toujours à l'écoute de l'autre, à rechercher ce qui pourra décupler ses plaisirs, à tuer la monotonie, à changer le train train qui mènent si souvent à l'ennui, si souvent à la déchirure, gaspillant des tranches de vie. Pour pimenter ainsi nos relations, nous nous sommes enrichis d'un bon nombre de jouets sexuels.
Flore adore sa pompe à clitoris, plaisir qu'elle avait découvert à l'école d'infirmière. Un jour, Claire, l'une de ses copines de promo, lui avait suggéré de tester cette pratique. Ce jour-là, elle avait eu sa première relation avec une femme. Depuis, elle en a acheté une très sexy qu'elle me confie volontiers pour un de ses plus grands plaisirs. (En passant, informez-vous sur sa puissance de succion parfois insuffisante. Ce n'est pas trop onéreux !). À cette époque, je me rappelle qu'en rentrant et en m'avouant cette expérience avec cette copine, elle m'avait fait une description de ce petit artifice :
- Tu sais, avec Claire, nous avons joué avec nos clitoris et Claire m'a fait connaître un délicieux objet !
- Quoi donc ?
- Une pompe à clito !
- Comment cela ?
- Tu sais, tu prends une seringue adaptée à la taille de la petite bille; tu scies le bout côté aiguille et tu inverses le piston de côté. Tu mets le bout évasé sur ton clito et tu pompes... Tu verrais...
Je me rappelle, ce soir là, elle était toute excitée de me faire part de cette expérience et nous n'avons pas perdu de temps pour essayer cette nouveauté rudimentaire. Je m'appliquais à construire ce gadget et rapidement nous passions à la pratique. Nus sur notre lit, j'approchais le corps de la seringue sur son joli bouton rose et délicatement je remontais le piston tout en haut. Qu'elle ne fut pas ma surprise de voir son ravissant clitoris emprisonné dans ce tube s'étirer gentiment et malicieusement. Je découvrais pour la première fois une petite bille légèrement bleuie qu'entourait une sorte de petit capuchon de peau rosée. Je prenais le tube entre deux doigts et je le tirais en avant en arrière toujours délicatement pour ne pas la blesser, lui faire du mal, ce qui lui aurait coupé toute jouissance. Je voyais sa cyprine commencer à couler entre ses petites lèvres. Flore laissait échapper de petits gloussements de bonheur. Elle n'était pas de ces femmes qui crient, juste des miaulements suaves, des gémissements harmonieux. Je ne sais pourquoi un petit tube de médicament trainait près de la tête de lit. Je le vidais et je me mettais à recueillir pour la première fois son nectar qui glissait vers sa rosace anale. Flore se tortillait de plus en plus. J'entendis un long soupir, ses magnifiques yeux marron foncé en amande s'ouvrirent pendant que de violentes contractions de sa vulve expulsaient un joli torrent de sève que je continuais de recueillir. Elle venait de jouir. Reprenant ses esprits, elle me dit dans l'oreille comme souvent à son habitude :
- Merci Amour, tu es merveilleux ! À toi maintenant que je te rende ce plaisir.
Il faut dire que j'étais énorme, dur presque à la limite de la douleur celle qui est si bénéfique pour avoir une jouissance encore plus violente.
Elle me fit une fellation comme elle savait si bien la faire et à son tour me fit gicler dans le corps de la seringue qu'elle avait délicatement posé sur mon gland, capturant à son tour mon sperme. Nous étions là chacun avec notre petit contenant rempli de nos amours et riant :
- Qu'allons nous en faire ? Tu sais le sperme se liquéfie assez rapidement !
- Avec un Kinder, ce doit être délicieux !
Qui fut dit fut fait et nous avons ce soir là goûter à nos sirops d'amour, Flore le mien et moi le sien. De cette expérience sont nés beaucoup de nos jeux sexuels. Nous aimons à essayer d'en trouver de nouveaux. Bien souvent nos soirées d'amour commencent par des masturbations avec captures de nos délicieux jus mais toujours cela se termine pour Flore par l'acte profond. Pour elle, rien n'a jamais pu remplacer sa jouissance vaginale, rien de plus apaisant, sa seule façon de trouver la quiétude; la seule manière à mes yeux de lui témoigner toute ma tendresse, comme pour la remercier d'être si délicieuse. Nous nous endormons bien souvent encore mêlés... Il est vrai que nous les mâles nous arrivons toujours à nos fins, nous jouissons toujours; mais la femme nous nous devons de la guider, de l'accompagner vers sa cascade de délice.
Pour avoir plus de latitudes dans nos expériences nous avons acheté une table de massage très confortable avec plusieurs positions que nous avons placée pas trop loin de notre couche, dans une pièce contiguë. Cette table nous sert pour nos masturbations, nos expériences. Nous avons pris goût à jouer, à souvent commencer nos parties de plaisirs ainsi. Nous gardons ainsi toute liberté de mouvements, pouvant être très proche l'un de l'autre et avoir toujours de bonnes positions. Parfois nous passons de la table au lit et revenons sur la table au fil de nos humeurs. La plupart du temps nous commençons nos jeux par une séance de massage en position allongée sur le ventre. Le fait d'être sur cette table nous laisse beaucoup plus de facilité pour nous masser que si nous étions soit sur un lit ou une table moins confortable. Là, sous nos suaves caresses, nous relaxons et cela est bien plus invitant pour nous faire monter nos fortes sensations à venir.
Nous aimons aussi très souvent cuisiner des sucreries; par exemple, des chocolats mais au lieu de mettre de l'alcool, nous les remplissons de nos nectars respectifs. J'adore celles avec sa sève et elle se délecte de celles avec la mienne. Parfois nous mélangeons nos petites gâteries dans de voluptueux baisers tout en faisant exploser en bouche nos délices qui se marient à notre plus grand plaisir. Nous avons toujours au congélateur une petite réserve de nos jus d'Amour comme nous les appelons. Chacun ses plaisirs ! Nous en faisons de jolis petits copeaux comparables à ceux de noix de coco et nous les parsemons au gré de nos folies sur certains mets, en particulier nos desserts. Nous aimons joué aussi parfois avec de la nourriture : Confiture, miel, chocolat tiède parfois avec de petits jouets faits de choses et d'autres : Concombres épluchés... Flore aime bien jouer avec un œuf dur le coupant en deux en ôtant le jaune. Elle en fait ainsi deux capuchons gélatineux qu'elle enduit de lubrifiant. L'un après l'autre, Flore les fait tournicoter délicatement sur mon gland; un œuf Tenga avant l'heure ! (Quel beau design cet objet !). La sensation de cette douce attention ne manque jamais de faire son délectable effet. Parfois elle guide mon jet dans ces deux moitiés puis elle en gobe une, m'offrant l'autre. La texture de certains fruits procure aussi des sensations divines, surtout ceux qui restent humides : Les pêches, melons, pastèques. L'été sur la plage à la tombée de la nuit, la pastèque est un vrai délice. Avec de gros morceaux, je caresse la peau de Flore dans les moindres recoins, glissant dans le canyon que ses deux superbes seins dominent, m'arrêtant à son nombril, surfant sur les lèvres de sa bouche, évitant d'arriver trop vite à son intimité toujours pour que Flore reste avide de désirs. Lorsque le morceau est trop usé, Flore l'engloutit en s'amusant à faire gicler tous les pépins de sa bouche et cela la fait bien rire. Nous adorons aussi les joies du glaçon, glissant de ci de là et nous couvrant de frissons, dressant nos tétons durcis, nous donnant la chaire de poule.
Je me rappelle un jour l'avoir surprise. Ce soir là, nous étions au bord de la mer. La nuit était tombée et un quart de lune pointait à l'horizon se reflétant sur les flots tranquilles. Nous étions allongés sur le sable encore chaud. J'avais pêché une huître et j'allais pêché l'orgasme de Flore. Elle en garde toujours un souvenir impérissable. J'avais pris ce mollusque au manteau ressemblant à la corole de ses petites lèvres ondulées et l'avais déposé juste en dessous de son clitoris. La douceur et la texture molle et humide de ce lamellibranche le faisait glisser inexorablement vers les profondeurs de sa vulve. Flore, malicieuse, faisait tout pour qu'il s'y glisse en effectuant de petites contractions de son périnée ce qui la faisait s'ouvrir. L'huître allait retrouver sa place dans la coquille de ce délicieux écrin. Je jouais en la reprenant puis la relâchant avec une petite pince à épiler trouver dans le sac de Flore. La consistance visqueuse se mélangeait à la cyprine qui dégorgeait. La vulve de Flore, béante, était devenue perlière laissant échapper de petites bulles nacrées. Sa grotte laissait deviner toute sa profondeur. Cette huître glissait inéluctablement vers celle-ci. Je me mis en quête de l'en empêcher et je plongeais ma langue dans ce gouffre inondé d'écumes et de fils amants. Je remontais le bassin de flore en la soulevant. Alors qu'elle allait disparaître au plus profond de l'être de Flore, je gobais cette friandise laiteuse. Flore était au bord de l'orgasme tant sa vulve était parcourue de frissons. Mon mollusque monocéphale se dressait sur son piédestal, tel un phare dominant le massif de corail que m'offrait Flore dans toute sa nudité. Je le guidais vers sa caverne si accueillante et pénétrais profondément juste en m'arrêtant à tant pour ne pas me cogner la tête contre le col de son utérus. Le flux et le reflux nous faisait monter notre marée. Nous déchaînions notre tempête. Nous sentions nos souffles s'accélérer et se mélanger dans nos vigoureux baisers. Nous étions tous deux au bord de la falaise, prêt à sombrer dans l'extase. Une violente lame de fond me transperçait et s'échouait en Flore qui sentant le ressac explosait à son tour laissant pour une fois échapper un cri strident. Nous restions étendus l'un en l'autre un bon moment puis nous avons couru sur le sable en direction des flots afin de nous rafraîchir et de reprendre nos esprits. Quelques brasses, de longs baisers et, au milieu de cette eau qui scintillait de mille feus, nous ne pouvions nous empêcher de nous épancher à nouveau l'un en l'autre : Nous nous baignions et je baignais l'intimité de Flore. Ce fut une nuit terriblement torride. Tout cela grâce à une toute simple petite huître. À quoi peu tenir le bonheur !
Flore aussi savait y faire ! Pour mon anniversaire, elle avait retenu dans un bon restaurant une table dans un coin de salle tranquille. Mais, notre douche faite après notre journée de travail, Flore m'avait offert tous ses charmes allongée sur un épais drap de bain sur notre table. Après de tendres préliminaires et multiples caresses, son nid d'amour laissait apparaître toute la profondeur de son vagin ouvert. C'est alors qu'elle me dit qu'il y avait quelque chose qui m'attendait dans la salle de bain. Je me dirigeais vers cette pièce. Une bouteille trônait dans le seau rempli de glace, un verre à pied était posé sur une serviette. Un seul verre à pied, pourquoi pas deux ? En revenant près de Flore je lui demandais :
- Pourquoi un seul verre trésor ?
- Tu vas voir...
Je regardais quel vin Flore nous avait choisi : Un sancerre millésimé, son vin blanc préféré. Elle prit le verre et me demanda de le remplir puis elle me le tendit esquissant un malicieux sourire. Je m'apprêtais à le porter à mes lèvres lorsque Flore arrêta mon geste :
- Non Amour ! Tu vas le verser dans mon calice car je veux t'offrir la plus belle coupe que tu n'as jamais bu.
J'hésitais une petite seconde surpris de tant d'audace. Elle écarta ses lèvres et me faisant signe de l'emplir je versais précautionneusement le contenu qui coulait dans les entrailles de Flore. Elle joua en contractant ses muscles à faire déborder cet ambroisie. Elle reprit le verre que je le lui remplissais à nouveau. Elle me dit :
- Bon anniversaire Amour et je trinque à ta santé. Tu n'as plus qu'à te délecter avec cette canule en aspirant tout l'amour que je te porte. Je t'aime….
- Merci, tu es formidable !
Alors, elle but avec volupté pendant que j'aspirais dans le plus original des verres que je n'ai eu la chance de posséder. C'était une divine situation et finissant de m'enivrer de ce délice je me mis en quête de l'emplir à mon tour de mon nectar. La prenant dans mes bras, je l'étendais sur notre lit et je la pénétrais. Notre tension étant à son paroxysme, Flore ne prit pas de temps pour venir chercher sa récompense et, dans une ultime étreinte, nos corps se sont mélangés. Je m'épandais dans son verre de cristal pendant que Flore le faisait chanter de ses doux gémissements. La soirée fut merveilleuse. Comment aurait-il pu en être autrement avec une si divine compagne ?

Au fil des ans, nous avons acquis quelques jouets sexuels. Flore en collectionnait un bon nombre. Elle avait une pompe et un stimulateur pour s'occuper de son clitoris, un gode gonflant vibrant, des sondes urétrales féminines, une douche vaginale, un stimulateur à tétons vibrant et aspirant, un stimulateur anal lui aussi gonflant, vibrant et aspirant, un œuf vibrant en matière lisse et douce non télécommandé et surtout deux dong identiques dont je vous reparlerai. Pour ma part, j'avais une pompe à sexe, des sondes urétrales, une petite panoplie de cockrings et anneaux péniens. Je bénéficiais aussi, suivant les géniales idées de Flore, de certains de ses propres gadgets : Le gode anal entre autre. Depuis quelques temps nous nous orientons vers l'électro... Mais le matériel est complexe et assez cher. C'est divers artifices décuplent infiniment l'intensité de nos plaisirs et réussissent souvent à nous faire venir plus intensément que lors d'une simple stimulation manuelle sans artifice.

Un jour, elle me pria d'aller voir une de ses meilleures amies, son aînée de deux ans, Émeline, dans son cabinet de prothésiste dentaire. Je connais biens les trois amies de Flore : Claire vit séparément avec une amie, Maéva est en couple avec mon super copain et Émeline dont je vais vous parler. Comme moi, elle en a très peu et comme je dis toujours : Les vrai(e)s ami(e)s se comptent très souvent sur les doigts d'une seule main; vrai(e)s au sens de quelqu'un qui peut vous donner un rein par exemple. Je demandais pourquoi faire et elle me répondit avec un sourire coquin :
- Tu verras bien mais elle t'attendra après le souper !
Cela sentait l'embrouille coquine... Émeline était pas très loin du sosie de Natalia Wörner, une femme tout à fait attirante avec de beaux atouts. C'était un vendredi soir. Je me rendais à son cabinet sur le coup de 20h30. J'entrais. Émilie en effet m'attendait vêtue de sa blouse de technicienne et, à première vue, sans trop rien en dessous à voir les bosses jaillissantes à l'endroit de ses seins. Après les salutations, nous avons donc parlé plus précisément de ma visite :
- Flore m'a dit de venir ce soir !
- Oui !
- Il y a une raison ?
- Oui, une très bonne raison !
- Et c'est quoi... ?
- Tu vas bien voir mais pour le moment, vas prendre une douche et nettoie ton étendard avec de la bétadine.
- Tu plaisantes.
- Non !
Émeline était une femme qui avait eu un immense chagrin d'amour. Son premier amour était décédé dans un accident de voiture. Elle avait mis quelques années à s'en remettre avec deux tentatives de suicide, quel gâchis cela aurait été. Flore avait toujours été près d'elle et était en grande partie responsable de sa reprise en main mais jamais plus elle n'avait pu s'attacher à un autre homme. Elle collectionnait même les aventures sans lendemain. Émeline était de celles qui savent bien ce qu'elles font et il ne valait mieux pas discuter.
Je m'exécutais non sans curiosité. Je me douchais dans la cabine juste à côté de l'atelier où trônait tout son matériel ainsi qu'un siège de dentiste très moderne. Je finissais de me rincer lorsque Émeline vint me rejoindre en me fixant le dessous de la ceinture.
- Nous n'allons pas aller par quatre chemins, branle moi cela que je puisse voir la dimension !
- Mais que veux-tu faire ? Cela me gène !
- Tu me connais ! Je te demande de me faire confiance.
Je m'exécutais et Émeline toujours avec son autorité :
- Donne moi cela !
Avec vigueur elle me prit la queue décalottant mon gland en le tenant fermement sous sa couronne. Cela ne prit pas trois secondes que j'étais déjà énorme.
- Hééé ! Ne crois pas que je vais aller plus loin ! Pour le moment j'ai du travail. En attendant installe toi sur le fauteuil et tu peux rester nu, cela ne me déplait vraiment pas au contraire...
Le fauteuil était totalement à l'horizontal et je m'y allongeais.
Émeline réapparaissait près de moi avec tout un attirail dans les mains : Deux plaques allongées dont la surface était perforée de multiples trous; cela formait une sorte de boîte avec un des côtés manquant et le tout ressemblait étrangement à des sortes de porte-empreintes dentaires, des boîtes où il était noté "Alginate chromatique... Empruntes rapides et précises... "
Il ne m'a fallu qu'une seconde pour tout comprendre :
- Non Émeline ! Ne me dis pas que Flore t'a demandé de me faire une emprunte de son jouet préféré ?
- Eh bien oui et je vais même faire plus ! À partir de ton empreinte je vais réaliser trois godes de ton jouet comme tu dis : Deux pour Flore et un pour moi ! - Je ne vais pas me priver de cela car je dois te dire qu'au premier coup d'œil je comprends pourquoi Flore me parle qu'elle est comblée. Tu le sais ou pas j'en vois des queues avec le choix de vie que je mène et toi tu es certainement dans la catégorie des mieux montés !
- Merci c'est aimable !
- Aimable ou pas il va falloir que tu bandes un max parce que Flore m'a dit qu'elle ne veut pas d'une demi-portion.
- Ok, ok !
- Bien ! Je vais te dire lorsque je serai prête car il y a des temps à bien respecter.
- Ça fait mal ?
- Ne fais pas ton douillet, tu as déjà eu des empruntes dentaires ? Eh bien c'est la même chose sauf que le produit est différent. Là c'est pour les objets ou une partie du corps.
Au lieu de discuter commence à t'astiquer; tu veux un porno sur l'écran de l'ordi en m'attendant ?
- Non je vais me concentrer et si tu te mettais nue ta beauté me sera suffisante.
- P'tit coquin ! C'est bien parce que c'est toi et que je connais bien Flore et vos accords...
Elle ôta sa blouse et, comme je l'avais bien deviné, elle était bien nue en dessous. Deux gros seins bien fermes et ambrés reprenaient leur liberté. Ils dardaient juste à portée de bouche. Devinant mes intentions :
- Hop ! Pas si vite ! Je t'ai dit il y a du travail.
Pendant qu'elle préparait la séance, je n'avais aucun effort à faire pour grossir. Je voyais sa croupe onduler. Lorsqu'elle se retournait dans ma direction, la vision de son bas ventre, m'offrait sans retenu aucune une superbe vue sur sa chatte bien dessinée avec le même petit triangle de poils que Flore :
- Tu as la même esthéticienne que Flore ?
- Non le même esthéticien ! Mais n'imagine rien, c'est un de nos très bons amis et hélas nous ne l'intéressons pas le moins du monde... Il vit avec son ami qui est notre coiffeur. Drôle non ? Alors tu es prêt !
- Oui je pense !
En se tournant vers moi :
- Eh bien dis donc tu as à me faire encore un gros effort, je vais t'aider et tu resteras bien tranquille ensuite.
Elle s'approcha de moi, me pris fermement la hampe, mis mon gland dans sa bouche me serra très fort sous la couronne, me tira toute la peau en arrière. Elle me suçait savamment en me branlant délicieusement. Je sentais qu'Émeline y prenait un certain plaisir. Je me risquais à lui capturer un sein. Comme elle ne se refusait pas je continuais à lui en caresser la pointe qui s'étirait de plus en plus et, lentement, je descendais vers son puits d'Amour. Elle fit un début d'ondulation de ses reins :
- Attends un peu je ne te laisserai pas ainsi haletant devant moi mais il faut faire le travail.
J'étais énorme devant tant de tolérance, sous l'effet dévastateur de sa fellation. Avec dextérité, à la base de mon sexe, elle posa un large élastique et lui fit un ou deux tours :
- Cela va te tenir bien dur pour avoir le temps de pose adéquate et je pourrai le couper facilement le moment venu. Je sais tu dois avoir un peu mal mais il faut que cela soit précis. Surtout je te demanderai de te concentrer et de ne pas bouger lorsque tu auras les moules sur ta belle grosse queue. Tu es bien monté ! J'en ai vu ! Il y a peu d'homme qui ont une couronne comme toi, tu vois là le bourrelet que tu as ! Les femmes aiment ce genre de gland. Tu as un gland qui hameçonne, qui stimule le vagin lorsque tu reviens en arrière. Il tire les parois, accrochant bien et ses mouvements répétés stimulent encore plus le point G des femmes. De plus comme tu es de grosseur tout à fait raisonnable, elles te sentent bien plus que si tu n'avais pas cette protubérance aussi prononcée. Tu comprends pourquoi je n'hésiterai pas à me faire ton empreinte !
Et pour renforcer ce qui semblait vraiment l'exciter, elle me plaça un deuxième élastique juste sous la couronne ce qui la fit ressortir encore plus. Je lui ajoutais :
- Comme cela tu penseras à moi à chaque fois !!!
- Ne rêve pas j'en ai plusieurs et les noms ne sont pas écrits dessus. Ce sont des sortes de trophées !
Sans perdre un instant, Émeline fit le mélange qui devint violet. Devenu rose, elle emplit les deux moules et me les appliqua, les fixant bien solidairement. Il ne restait plus qu'à attendre les trois minutes de la minuterie. Je n'esquissais aucun geste, essayant le plus possible de réfréner les contractions de mon périnée que je sentais monter dans mon manche caparaçonner. Pour me garder bien dur Émeline me caressait les testicules. La minuterie retentit. Émeline contrôlait et comme tout semblait correcte elle coupait la strangulation au dessus de mon scrotum, me pinçait violemment les tétons plusieurs fois me faisant mal. Je débandais, mais pas suffisamment. Elle séparait chaque moule laissant une sorte de gélatine blanche accrochée à mon manche. Avec une seringue elle injectait de l'eau tiède entre ma peau et les empreintes pour faciliter leur décollement. Ainsi, elle pouvait retirer le moulage et le deuxième élastique. Elle semblait ravie de son travail :
- Bien ! Il me restera à mouler et j'appellerai Flore pour lui remettre son trésor. Il se fait tard, je range le moulage dans mon armoire qui ferme à clé. Je te rejoins sous la douche.
En effet, elle vint avec moi, se lava et se plaqua contre moi. Elle était devenue une chatte aimante, s'abandonnant à mes caresses. J'étais redevenu dur et, en un tour de main, elle s'accrocha à mon hameçon d'un coup de rein précis tout en prenant appui à mon cou. Je la soutenais. Elle se tortillait frénétiquement cherchant la montée de son plaisir. Je pétrissais violemment ses fesses et sentais la pression de ses seins sur ma peau tellement elle me serrait fortement. Nos langues n'en finissaient pas de se mêler. Nos cadences augmentaient. Elle laissait échapper de stridents petits cris. Mon index gauche glissa dans sa rosette lui occasionnant un miaulement de bonheur plus intense. J'explosais en elle. Dans un dernier spasme de tout son être, un interminable « Oooooooooh !» résonnait. Émeline jouissait... De douces convulsions venaient contracter ma verge telles des vagues s'échouant sur une plage. Un dernier baiser langoureux et Émeline se retirait. Je lui rendais son baiser :
- Tu es divine !
Elle prenait la pomme de douche et se lavait le minou. Nous nous séchions et rhabillions. Je lui demandais si elle voulait venir prendre un pot au pub du coin, ce qu'elle acceptait. Nous avons discuté de choses et d'autres. Elle me dit que Flore est une vraie chic fille, que je suis chanceux de l'avoir et qu'il faut que je continue de la rendre heureuse. En riant, elle me contait une anecdote :
- Surtout ne lui achète jamais une pompe à vagin. Elle déteste depuis qu'elle l'a testée, la semaine dernière, chez notre copine Maéva (moi je l'appelle Méava pour l'agacer !). De voir son minou tuméfié et flasque telle une méduse échouée l'a dégoutée profondément et je partage son avis, c'est horrible.
Je savais que Maéva et son ami, ainsi que Claire avaient été initiés par Flore à certaines de nos pratiques qu'il ne faut jamais entreprendre sans en avoir une certaine expérience. Je vous en reparlerai.
Je profitais de notre discussion en intimité pour lui poser une question que je n'avais jamais pu très bien élucider :
- Émeline ! Tu dois être au courant de cela ! À chaque fois que je m'approche du méat urinaire de Flore, pour jouer sexuellement avec : par exemple avec une sonde, Flore m'arrête en me disant que ce n'est pas encore le moment.
- En effet, je le sais que tu tournes autour de cela, toutes les quatre nous n'avons pas de secrets. Mais cela m'ennuie un peu de te le dire; ce serait plutôt à elle de le faire mais c'est bien que tu le saches. Et puis je connais votre fonctionnement, la manière dont vous entretenez vos rapports humains, d'ailleurs je les considère très intelligents. Si tout le monde fonctionnait ainsi il y aurai peut-être moins de séparations dans ce bas monde ! La vie ne m'en a pas laissé le loisir... enfin...
- Oui je te comprends ! Je pense ne pas me tromper en te disant que ce doit être un trauma.
- Tu as parfaitement raison. Un jour lors d'une visite gynécologique, celui qu'elle pensait être un bon copain sans plus, s'était essayé à vouloir une relation avec Flore et elle s'était refusée. Tu la connais ! C'est elle qui décide et pas l'inverse. Lors de la visite suivante elle ne se méfiait pas. Sur la table en position jambes relevées, pieds dans les étriers et spéculum en place, il prétextait un examen de son urètre. Elle lui faisait encore entièrement confiance. Elle ne voyait pas la sonde qu'il prenait, plus un jouet sexuel qu'une sonde médicale. Et, sans prévenir, il bloquait son bassin en enfonçant violemment l'objet très profondément. Elle hurlait de douleur en essayant de se retirer mais plus elle essayait plus cela lui arrachait d'atroces souffrances. Il souriait de tout son être en lui disant qu'elle était douillette mais en effet, pour que Flore hurle, elle devait vraiment avoir mal. Heureusement il retirait tout cela à peu près correctement. En partant, elle le traitait de salop et qu'il lui paierait cela un jour. Ce qu'elle fit un soir, plusieurs mois après, en plein restaurant où nous avions su qu'il allait se rendre. Nous étions là toutes les quatre et, Flore, parlant très fort, collée à sa table, devant tout le monde, demandait si les clients voulaient savoir comment, Monsieur, ce soit disant gynécologue, opérait avec ses patientes... Et elle racontait brièvement l'histoire. Lui, ne sachant où se mettre, décidait de quitter la place.
- Ah ok ! Je comprends mieux maintenant. Je te remercie de ta confiance Émeline, c'est gentil à toi de m'avoir conté cela. Je me souviens en effet, mais il y a déjà quelques temps, que durant une quinzaine de jours elle s'était refusée à mes avances. Par contre, elle était restée divine avec moi. Durant ces quinze jours en s'endormant elle pleurait blottie contre moi. Émeline reprit :
- Cela doit correspondre. Elle ne voulait le dire à personne. Il n'y avait que le bloc opératoire qui le savait et bien sûr nous trois. Elle ne voulait pas t'ennuyer avec cela et pensait que ce n'était qu'à elle de régler ce problème. Mais tu sais lorsqu'elle alla uriner le jour même elle hurla à nouveau de douleur et c'est là qu'elle en parla à Jack l'anesthésiste que tu connais bien... Il ne prit pas de temps, il téléphona à son copain urologue qui, le lendemain entre deux consultations, ausculta Flore qui se tordait de douleur. Voyant cela, le verdict tomba : Il fallait aller voir sous anesthésie. L'uro. lui demanda comment cela avait pu arriver. Elle ne voulait rien dire. Il lui demanda si c'était son mari ou un partenaire. Elle répondit que ce n'était rien de tout cela. L'uro. n'étant pas né de la dernière pluie lui dit que si c'était ainsi il ne restait que le gynéco. Elle ne lui répondit pas et cela voulait tout dire. En fin de journée, son bloc étant libre, ayant sous la main ses infirmières, il demanda à Jack d'assurer l'anesthésie et la surveillance. Pour détendre l'atmosphère, Jack dit à Flore :
- Enfin Flore je vais voir ta véritable identité depuis le temps.
- P'tit couillon Jack (en esquivant un petit sourire).
Émeline continua :
- Donc ils l'ont examinée sous anesthésie. L'urologue fut catégorique. L'autre aurait pu lui bousiller son urètre. À l'entrée de la vessie, une lésion était visible. Il paraît que Jack toujours égal à lui même dans la bêtise dit en riant à l'urologue :
- Tu ne peux pas savoir comme elle fabrique de la cyprine cette gonzesse là.
- Tiens regarde là, en montrant les deux petits orifices situés à gauche et à droite de l'orifice vaginal, dans l'épaisseur des grandes lèvres. Ouai en effet elles sont bien développées ses glandes de Bartholin et bien rebondies; pas étonnant qu'elle coule tant ta copine.
Une sacré nana vachement sympa !
- À oui.. !
L'uro lui fit une prescription d'antibio et d'analgésiques. Il dit à une des infirmières de bien vider sa vessie pour au moins que Flore puisse attendre un certain temps avant d'uriner à nouveau. Voilà tu sais tout.
- Bien je te remercie ! C'est vraiment gentil à toi de m'avoir dit tout cela.
- Comme je te dis, Flore pour moi est ma sœur. Sur ce, je vais te laisser retrouver ta douce.
Elle téléphona à Flore pour la rassurer, lui dire de ne pas s'inquiéter, que je finissais de siroter mon verre et que j'arrivais. En effet, deux grandes vraies amies !
En rentrant Flore affichait un magnifique sourire illuminé et me donna un langoureux baiser. Tout était correct entre nous. Elle ajouta :
- Je suis impatiente de voir le résultat et surtout de le tester.
- Mais pourquoi deux godes.
- Tu verras...
- Alors tu sais tout maintenant car Émeline m'a retéléphoné le temps que tu arrives.
- Oui cela a été très fort entre nous et elle m'a raconté tes déboires : Je compatis pauvre trésor.
- Je sais que cela a été plus loin coquin. Oui, j'ai toujours du mal à parler de cela tellement j'ai eu peur mais je suis agréablement surpris que tu t'intéresses à moi comme cela.
- Comme si tu ne le savais pas ! Tu aurais dû m'en parler...
Elle se colla à moi et me fit un long baiser goulu et profond comme pour se faire pardonner et me dit :
C'est drôle mais cela me tranquillise que tu le saches et je pense que cela va m'aider à avoir confiance pour pouvoir te laisser jouer avec ce nouveau petit trou pour toi. Je vais voir comment je vais réussir à vivre cela, ne t'inquiète pas.
Comme elle travaillait le lendemain, nous nous couchâmes. Elle se lova dans mes bras, une main sur mon jouet, et moi un doigt dans sa fente. Nous nous endormîmes.
Quelques semaines passèrent et elle alla à son tour passer une grande partie de la nuit chez Émeline. Je n'ai pas eu besoin de demander ce qui s'était passé. Lorsque Flore rentra, la mine toute réjouit, exhibant ses deux trophées, je savais que toutes les deux les avaient testés. Je n'étais pas troublé par son attitude. Avant de les ranger dans sa panoplie, elle me les montra. C'était deux dong, un rose et un bleu dans une matière cristalline souple et dur à la fois :
- Ils sont vraiment bien réussis !
- Mais pourquoi le bleu a un système de vissage à sa base ?
- Tu verras, tu verras...
- Bien bien...
Je n'avais plu qu'à attendre le moment où Flore se déciderait à les utiliser.
Quelques jours plus tard, un soir Flore rentra de son travail avec un paquet. Elle me le tendit en me disant :
- Pour toi ! Un petit cadeau !
Je déchirais le papier et découvrais une pompe à sexe.
Nous sommes montés dans la chambre pour l'essayer. Je m'allongeais sur notre table et Flore installait la pompe sur mon chibre qui déjà dardait entre ses mains expertes. Elle actionnait quatre ou cinq fois le pistolet et je voyais grandir mon sexe dans ce tube. Elle jouait avec le pistolet pour créer un effet de succion et je sentais la liqueur qui montait en moi. Elle laissait de petits temps d'arrêt et l'effet était immédiat, mon sexe retombait normal. Puis elle reprenait, elle me faisait grossir plusieurs fois à la limite de la douleur, un petit signe lui faisait comprendre... j'étais énorme au bord de l'éjaculation... le temps de retirer la pompe, voilà qu'elle me posait un anneau pénien à la base de mon organe; il allait me garder énorme et retarder ma délivrance... Mon sexe était menotté... La turgescence de mon gland était à la limite de la douleur mais je gardais toujours cette sensation de volupté. Flore ôtait la pompe et me prenait à pleine main. Elle me masturbait de plus en plus rapidement. Elle me suçait goulument. Elle ôta rapidement l'anneau. Mon corps se tendit. Je lançais de violents coups de rein. Dans un râle éperdu je projetais une première giclée de semence dans les airs suivie de trois autres pratiquement aussi violentes. Le reste coulait sur sa main qu'elle s'empressait de lécher avec délectation. Je voyais un filet de cyprine accroché à sa vulve. Elle avait pris du plaisir à cela. J'étais dur. Je descendais de la table et je la prenais dans mes bras pour la coucher sur le lit. Je la pénétrais un peu plus violemment que d'habitude, elle laissait échapper un petit oh de surprise mais rapidement refermait ses yeux et très peu de temps après j'entendais son long soupir; elle jouissait, je ressentais tous les spasmes de son corps qui ondulait. À mon tour je l'inondais. Elle sentait mon liquide heurter ses parois vaginales ce qui lui faisait échapper un nouveau soupir, elle était en transe son corps n'arrêtait pas de se convulser. Quel bonheur ! Elle rouvrait ses yeux avec un merveilleux sourire malicieux en me disant :
- Alors tu a été heureux de ton cadeau ?
Je lui répliquais :
- Oui Amour ! Un grand merci ! Tu es merveilleuse...
Nous nous sommes caressés encore et encore mais sans aller plus loin épuisés que nous étions, conscients que nous venions de vivre un moment très fort et que, avec de tels ébats, nous cimentions notre union. Nous avions des relations de ce genre pratiquement deux à trois fois par semaine.
Quelques mois se passèrent ainsi. Elle eut alors une rencontre qui nous fit encore progresser dans nos attentes.
Un soir, Flore me dit qu'elle avait rencontré un spécialiste en technologies nouvelles pour du matériel chirurgical et qu'il lui avait montré un petit plug urétral fait dans une sorte de caoutchouc. Elle m'expliquait que le plug était conique, d'une longueur de deux à trois centimètres (donc qu'il pouvait lui servir aussi) et d'un diamètre au plus large de 7 millimètres, qu'il était creux sur toute sa longueur et qu'il s'enfilait dans l'urètre afin de faciliter par la suite d'autres pénétrations diverses. Le fait d'être en matière semi-souple autorisait des dilations différentes. Je lui demandais où elle voulait en venir. Elle me répondait que, dans son travail, elle posait souvent des sondes et pensait pouvoir décupler encore plus ma jouissance en se servant de cette astuce pour me pénétrer et me faire naître de nouvelles sensations. Je lui faisais entièrement confiance et je savais que de me faire jouir ainsi lui procurait aussi du plaisir. Le plaisir de me contenter en attendant qu'arrive son tour. Nous nous auto-excitions de ces situations. Je lui donnais mon approbation étant curieux de vivre un tel moment. Je n'allais pas être déçu.
Elle me demandait de faire une petite modification à notre table en y perçant un trou de 8 mm. Surtout il fallait qu'il soit exactement à l'endroit où elle avait fait un repère qu'elle me montra. Je ne posais aucune question, me demandant en moi-même bien pourquoi ?
Dès le lendemain elle arrivait avec le petit objet dont elle m'avait parlé. Elle me disait que ce spécialiste avait goûté à ces charmes :
Je ne pouvais l'avoir qu'à cette condition !
Rien à redire, ce sont nos accords; nous fonctionnons ainsi. Je ne vous rapporterai pas ici mes rencontres. Il faut dire que cela ne nous arrivait et ne nous arrive quand même pas très souvent. Cela fait partie de notre code de franchise. En plus de cet objet, dans une boîte aseptisée, se trouvaient des sondes de verre et d'acier rangées suivant leur grandeur et leur diamètre, une seringue, du sérum physiologique, de la bétadine, un tube de lubrifiant, deux petits garrots de latex et des gants. Elle ajoutait :
- Nous devons avoir une hygiène irréprochable pour ces jeux et jamais il ne faut utiliser ses outils s'ils n'ont pas été au préalable désinfectés et stérilisés. Pour ce qui te pénètre, je mettrai des gants de chirurgie. Cette hygiène est aussi respectée très scrupuleusement par les acteurs et actrices de films pornographiques : Lavements internes et externes, douches etc...
Je ne savais pas trop ce qui allait m'arriver mais je sentais déjà des spasmes monter. De petites contractions de mon périnée arrivaient également dans ma verge rien qu'à voir Flore s'affairer sur moi. Je me demandais où elle pouvait aller chercher ses idées.
Nous avons mangé et ensuite nous sommes montés. J'étais un peu fébrile mais super excité. Jamais nous n'aurions forcé l'autre s'il ne voulait pas s'y adonner. Flore me déshabillait savamment en laissant trainer ses mains sur tout mon corps, toute délicieuse qu'elle était. Je lui en faisais de même libérant ses magnifiques seins que j'effleurais délicatement, sautant de l'un à l'autre, m'attardant sur chaque mamelon en érection entouré de leur aréole si bien dessinée. Je la prenais et la couchais sur notre table. Elle fut un peu surprise mais je voulais lui procurer une jouissance clitoridienne avant de passer sur la table à mon tour. Qu'elle ne fut pas ma surprise de voir mon dong bleu vissé à la place du trou que j'avais percé. Je me souriais intérieurement en voyant déjà dans ma tête l'image qui se profilait : Flore s'empalerait dessus en même temps qu'elle s'occuperait de moi. Je sortais de son écrin son magnifique petit stimulateur à clitoris avec une surface de massage parsemée de picots à son extrémité, c'est un Diamond Rocket rose avec quatre embouts différents pour varier les plaisirs. Le bruit discret ne troublait pas trop la montée en puissance de son plaisir et je m'attachais à la besogner le plus délicatement possible, pour lui arracher son soupir si voluptueux. Je la voyais se détendre. Je plaçais le vibrateur sur son clitoris en écartant juste le haut de ses petites lèvres, les laissant à la partie inférieure collées offrant la vision de cette peau rose aux bords ondulés. J'assurais de petites pressions qui combinées aux vibrations conduisaient Flore vers un paroxysme certain. À la base de sa corolle un petit orifice s'entrouvrait tranquillement. Telle une source jaillissant du sol, un mignon petit filet de cyprine commençait à s'écouler. Elle m'accompagnait de lents et doux coups de rein laissant échapper de temps à autres une petite contraction de sa vulve ce qui alimentait un peu plus la petite cascade qui coulait vers sa petite rosace. La prochaine contraction ferait disparaître sa sève dans son orifice anal sauf si je décidais à nouveau de la lui capturer dans un de nos récipients. Elle laissait épisodiquement échapper de petits Ôoo. Cela ne prit que quatre petites minutes. Un long spasme traversa tout son corps. Elle se trémoussa, elle fut parcourue de soubresauts, sa tête battit de gauche à droite. Un autre petit spasme... Et Flore émit son long soupir à peine audible... Elle jouissait... De magnifiques petites contractions en attestaient contribuant toujours à alimenter sa cascade nacrée. C'est un spectacle dont je ne peux me lasser. Flore se redressait, ses yeux restaient un cour instant dans le vague comme si elle était toute étourdie. J'avais bien pensé de faire ma petite récolte de cette magnifique lave comme bien souvent dans ce genre de jeu. Le temps de reprendre ses esprits, Flore entreprenait de sa main gauche de caresser son pussy puis elle glissa langoureusement son majeur gauche très profondément lui faisant faire quelques aller et retour puis son index disparut à son tour et elle écarta ses petites lèvres me laissant apparaître un lac de cyprine blanc nacré tel un névé encastré au fond d'une vallée profonde. Son lac me fit admirer toute la beauté de son intimité la plus secrète. Elle était grande ouverte, offerte à mes yeux, prête à m'engloutir au plus profond de son intimité. Elle se mettait par de douces contractions pelviennes répétées à faire monter et descendre le niveau de ce lac comme pour le faire déborder. Une vague s'épandit de son cratère et je m'empressai de la recueillir à nouveau; j'en étais gourmand et Flore le savait. Elle m'invitait à prendre sur la table une canule percée, sorte de paille de verre à bout rond et j'aspirais par petits coups ce suc et continuait de remplir notre flacon... titillant l'intérieur de sa vulve, lui soutirant toujours des petits Oooooooooh d'émerveillement. Elle poursuivait de se convulser à souhait me faisant bander encore plus. Malicieusement, je m'approchais de son méat urinaire en plaçant ma canule à l'entrée prêt à l'introduire :
Je veux bien que tu essayes mais avec quelque chose de plus petit ! Prends le thermomètre électronique dans son sachet stérile. Son petit embout devrait être juste comme il faut !
Elle était prête à me laisser jouer avec son petit canal. J'étais tout excité à l'idée qu'elle allait me faire confiance et aussi fébrile car je ne devais pas la brusquer pour cette saine pratique dans le respect de l'autre. Je prenais le thermomètre en question et enduisais copieusement l'embout de gel lubrifiant. J'en déposais délicatement à l'entrée de son orifice. Son corps tressaillait de crainte, elle était un peu contractée. Flore tenait écartées les lèvres de sa vulve m'offrant tout un spectacle sur son intimité. Je caressais gentiment son joli petit minou si grand ouvert. Son méat était là juste devant moi. J'introduisais pas à pas l'embout tout en le twistant lentement. Le fait d'avoir mis du gel le faisait s'engouffrer délicieusement et je le freinais pour ne pas couper le désir qui s'emparait d'elle.
Je l'avais introduit d'un petit centimètre et demi et je commençais de minuscules va et vient. Je sentais Flore prendre mon rythme et esquisser de petites contractions de sa vulve. Elle avait une entière confiance dans mes gestes. Allais-je vers une masturbation qui allait lui procurer une jouissance vaginale chose assez rare chez Flore, seul ma présence en elle arrivait à ces fins. Quelle belle récompense elle m'offrirait ainsi ! Je mettais le thermomètre dans le pli de mon pouce et de mon index afin de ne pas le bloquer dans le cas où elle intensifierait ses mouvements car je sentais qu'elle allait par tous ses moyens rechercher sa suprême jouissance. Le thermomètre glisserait ainsi sans être bloqué. Je caressais tout son corps, remontais le long de ses cuisses. La parfaite connaissance de ses zones érogènes était un atout immense pour lui faire monter son plaisir. Elle avait la chaire de poule, son bassin ondulait de plus en plus. Sa vulve était inondée de gelée blanche pareille à la rosée du matin. Entre mon pouce et mon majeur, j'appliquais à la base de son méat de douces pressions, le comprimant sur l'embout puis le relâchant ayant dans l'idée de stimuler ses fameuses glandes de Skene, siège de l'éjaculation féminine. Flore, connaissant bien l'anatomie, avait bien deviné mon intention. De mon index resté libre, je pouvais caresser sa petite bille qui dardait juste au-dessus et qui semblait ne demander que cela contribuant à transcender ses sensations croissantes. Pendant tout ce temps, de violentes contractions de mon périnée montaient de plus en plus vers mon gland. Je n'en pouvais plus et Flore, toujours aussi subtile, me pria :
- Viens te libérer sur mes seins tu n'en peux plus !
En effet, j'étais au comble de l'excitation et il ne me fallut pas plus de temps pour le dire qu'une violente décharge couvrit de neige onctueuse ses beaux mamelons coulant sur leur flan en direction de leur val. Elle étala ma crème et ensuite ses longs doigts experts tout imprégnés de mon baume reprirent la divine masturbation de son merveilleux petit bouton.
Rapidement pour ne pas laisser Flore sur sa faim, je reprenais le thermomètre et jouais à nouveau avec. Sa tête allait de gauche à droite. Je malaxais ses tétons, lui effleurais le visage et les lèvres, reprenais mes pressions. J'ôtais délicatement le thermomètre car je devinais sa délivrance proche. En l'ôtant, un léger petit jet incolore jaillit tel un geyser. Elle émit un délicieux « Oooooooooh !» plus de surprise que de plaisir. Flore venait de vivre sa première éjaculation féminine. Elle s'en apercevait et me faisait un long sourire. Puis un intense soupir traversa à nouveau la chambre. Flore continuait d'éclater de bonheur; son corps se raidissait. Elle m'attirait pour me serrer fort contre elle m'embrassant goulument puis elle éclata en sanglot, des larmes d'une immense joie qui lui apportaient une formidable paix intérieur. Flore avait joui profondément sans pénétration, seulement sous mes artifices manuels.
J'étais vraiment heureux pour elle qui venait de franchir un nouveau pas dans la recherche de ses plaisirs. Quelques jours après cette expérience, elle me permit d'aller encore plus loin. Je lui avais demandé de me faire jouir dans le corps d'une seringue ce qu'elle s'était appliquée à faire si savamment comme à son habitude. Jouant avec son méat urinaire comme elle me le permettait, je remplaçais le thermomètre par l'embout de la seringue et lentement j'injectai mon sperme dans son canal urétral en lui disant :
- Amour ! En me laissant faire tu me permets de finir d'honorer tous tes si merveilleux orifices !
- Je sais ! J'ai bien compris. Je t'aime...
Ce jour là, elle fit, contractant tous ses muscles pelviens, tout pour faire naître en elle une nouvelle éjaculation par son urètre. Je ne pouvais l'accompagner que par mes sensuelles caresses. Elle s'était accrochée à mon mât. Je la voyais venir. Elle recherchait frénétiquement sa nouvelle jouissance par ses violentes contractions. Elle masturbait assez violemment son magnifique bouton tout dardé et soudain, ayant un cri de bonheur, elle éjacula son liquide mêlé de mon sperme, pas un énorme jet juste ce qui devait lui suffire à éprouver une nouvelle sensation. À cette vision, je ne pus me retenir. La table étant à la bonne hauteur, j'attirais Flore juste sur le bord et là je l'enfilais sauvagement. Elle était si grande offerte qu'elle ne ressentit pas la violence de mon assaut. Dans un puissant râle je l'inondais ce qui lui fit naître à son tour une profonde jouissance que je devinais en ressentant les fortes contractions de sa vulve et en voyant son corps parcouru de spasmes salvateurs. Quel spectacle ! Par la suite, nous achetant une sonde-boule d'urètre vibrante servant aussi bien à elle qu'à moi, Flore connut de plus amples éjaculations qui la ravirent pour son plus grand bonheur, fougueux complément dans sa recherche perpétuelle de porter nos jouissances à leur paroxysme.
Je trouvais que, le fait de jouer assez régulièrement avec sa pompe à clitoris, lui avait dilater quelque peut ce dernier. Il avait gagner à mon avis un petit centimètre mais surtout il mettait bien en valeur sa petite bille et son petit capuchon, ce qui faisait que je n'avais aucun mal à le masturber. Je savais qu'elle aimait parfois jouer avec sa bille, se la rouler pour jouir et c'était son droit le plus stricte. Souvent en voiture, en écoutant sa chanson préférée "Madame Rêve" d'Alain Bashung, elle tue le temps ainsi et parfois essaye de me déconcentrer en s'intéressant à moi. Parfois il lui arrive de me demander de nous arrêter dans un hôtel tellement elle est impatiente d'atteindre sa profonde plénitude.
Elle était heureuse de se dénouement ne pensant pas que je lui ferais ce plaisir trop pressé que je serais de vivre une nouvelle expérience. Par contre j'étais déjà immensément dur lorsqu'elle me priait de monter à mon tour sur la table. Je m'allongeais détendu les jambes entrouvertes et là il sa passa quelque chose de non prévu. Elle sortit un bandeau et me le mit sur les yeux en me disant que, comme c'était la première fois, elle ne voulait pas que je vois afin de ne pas faire de faux mouvements. J'étais encore plus énorme à cette idée mais me laissais faire. D'une main, elle me prenait fermement juste au dessous de la couronne du gland et commençait de petits va et vient tout en me parlant, me susurrant :
- Oui, c'est bien ! Décontracte-toi Ne crains rien, tu vas voir cela va être encore plus fort...
J'étais énorme... À la base de mon sexe, elle me fixait une sorte de petit garrot de latex posé avec un nœud rapide de façon à pouvoir le défaire en un tour de main. Elle mettait ses gants. Elle me tenait. Elle prit le petit tube de lubrifiant et entra la canule du tube à l'entrée de mon méat pour y déposer une noisette de gel. Elle sortit alors le plug qu'elle lubrifia également. Reprenant fermement ma tour, je sentis une divine brûlure; elle enfonçait le plus lentement possible le plug dans mon canal. Un petit pincement à mon orifice qui était tout grand ouvert et le petit cône était posé. Flore n'était pas infirmière pour rien. Elle était douce avec des gestes précis. De sa voix suave elle me tenait au courant de l'avancement des préparatifs. Elle se mettait à faire tourner dans mon conduit son objet délicatement et lentement, je sentais le désir d'exploser monter mais je me doutais que cela ne se passerait pas si vite, que Flore allait faire durer cette sensation le plus longtemps possible. Elle me dit qu'elle allait faire pénétrer la plus longue des canules dans mon urètre et que je ne sentirais pratiquement rien étant trop tendu, dur et dilater. Je sentais cette dernière glisser lentement dans mon dard qui était droit dans les airs pour faciliter l'introduction, puis je le devinais s'enfoncer dans mes entrailles sans trop de douleur. Je comprenais pourquoi elle était si longue, elle l'enfoncerait jusqu'à la limite pouvant être atteinte, limite qu'elle connaissait très certainement.

Juste un mot mes ami(e)s : Ne vous lancez pas dans ce genre d'expérience sans réfléchir, sans avoir eu une démonstration de quelqu'un qui a déjà expérimenté ce jeu; soyez attentifs(tives) et prudents(es). De plus vous devez avoir une hygiène irréprochable dans la désinfection et la stérilisation de vos matériels. Il faut aussi beaucoup lubrifier.

Une fois la canule en bonne position, Flore la faisait coulisser de bas en haut lentement, je sentais mon corps se tendre et je commençais à donner de lents coups de rein de plus en plus amples. Les contractions de mon périnée s'intensifiaient et faisaient sourire Flore qui devait, elle aussi, les ressentir dans sa main. Elle fit cela durant deux trois minutes avec une telle douceur... Me procurant un vrai bonheur.
Elle ressortit la canule avec calme et adresse. Flore prit alors la petite seringue munie d'une aiguille immense et de bon diamètre. Elle aspirait de sa cyprine dans la fiole et introduisait l'embout dans mon canal :
- Trésor ! Je vais moi aussi être un peu en toi. Ce n'est pas toujours aux hommes de nous inonder !
Elle me surprendrait toujours. Je n'en revenais pas ! Elle infiltrait sa propre sève dans mon urètre et elle allait jouer un long moment en l'injectant puis l'aspirant, cela plusieurs fois de suite. C'était un délice, je me tordais de plaisir sentant ce va et vient du liquide dans mon canal.
J'avais glissé ma main dans l'entrecuisse de Flore, caressant son petit minou tout baigné et humide. Comme pour me venger de ce délectable supplice mon index droit se mit en quête de sa petite rosace. Je lui demandais un peu de gel et, à mon tour, je m'enfonçais délicatement dans son petite orifice et j'y restais immobile en attendant d'y placer un deuxième doigt voire de la dilater avec l'idée qu'une fois ma jouissance atteinte je la prendrais ainsi. Elle en avait profité pour engloutir le dong vissé à la table dans son vagin; j'étais en elle par procuration. Elle retira la seringue et mis à la place un long tuyau de plastique transparent et se mit à inspirer et souffler. Elle continuait ainsi de jouer avec sa semence dans mon urètre décuplant les cascades de contractions de mon périnée ce qui me faisait monter encore plus fortement l'envie de gicler. Elle me donnait le tuyau pour que je puisse m'amuser aussi un petit peu. Par hygiène, elle remplaçait l'aiguille de la seringue qu'elle replongeait dans mon méat afin d'aspirer sa gelée. Elle jetait le tout dans un pot de verre. Elle reprenait une seringue identique, aspirait de la bétadine qu'elle m'injectait afin de désinfecter l'urètre pour ne pas qu'il y ait de complications. Elle en introduisait toute une dose puis retirait la seringue :
- Voilà tout est près tu vas bientôt pouvoir aller chercher de toutes tes forces cette jouissance que je sens là en toi !
Flore ôtait le bandeau de me yeux et je pouvais voir le tableau. Ma verge était énorme, l'objet dépassant du gland. Pendant ce temps j'avais introduit mes deux doigts et Flore me les retirait gentiment pour se pénétrer d'un plug médium anal en acier inoxydable. Quel merveilleux jouet ! Elle avait très bien compris où je voudrai en venir. Elle commençait à reprendre ses va et vient le long de ma hampe et je sentais monter le désir. Elle accélérait puis retardait jouant avec mon instrument comme si elle voulait écrire une partition, petit à petit cela venait. Elle m'abandonnait enfin pour que je puisse me finir à mon rythme, ma main gauche allait prendre le relais. J'avais l'impression que mes testicules étaient emplis à en exploser. Elle replaçait la seringue pour libérer mon canal aspirant la bétadine que je sentais me fuir, ma liqueur allait bientôt la remplacer. Elle me replaçait une sonde dont le bout était une boule de diamètre plus important. Elle allait me bloquer le plus longtemps possible la montée de mon sperme jusqu'à temps que je n'en puisse plus. Elle débloquait la strangulation qui était toujours à la base de mon dard, le libérant. La tension en moi était à son paroxysme devant de telles visions et de telles sensations. Flore se tenait debout près de moi. Je lui tendais ma main droite doigts écartés et les doigts de sa main gauche croisèrent les miens, elle me serrait ainsi. J'avais l'initiative. J'accélérais le rythme tenant à pleine main mon vit. J'avais du mal à me sentir venir tellement les préliminaires m'avaient excité. Parfois trop d'excitation tue l'excitation. Flore me murmurait dans l'oreille des mots gentils pour m'encourager. Je sentais ce moment ultime proche, un violent spasme me traversait et tout mon corps se contractait. Je me tortillais sur notre table frénétiquement m'appuyant sur ma tête pour donner de forts coups tout en relevant mes reins. Je ne pouvais pas avoir une cadence plus rapide. Ma respiration était haletante, laissant échapper de petits gémissements. Mes yeux étaient grands ouverts pour ne rien perdre de la scène et du coin de l'œil je remarquais que Flore se caressait savamment le minou de sa main droite s'activant sur le dong vissé. Elle se masturbait regardant le spectacle que je lui offrais. Je n'en pouvais plus à en avoir presque des douleurs. Flore caressait mon gland avec le liquide transparent et visqueux qui perlaient au bout de ma lance le long de la sonde. Mon corps ondulait de gauche à droite, de droite à gauche avec une frénésie à la recherche du moment fatidique. Violemment mon corps se cambrait complètement, tout se tendait, mes pieds prenant appui sur les bords de la table. Je ralentissais brusquement, coupais ma respiration... Je sentais que je ne pouvais exploser, la sonde m'interdisant ma jouissance salvatrice. J'étais à la limite de la douleur. Flore le devina et avec dextérité et rapidité, elle retira délicatement le tout de mon méat. Je voyais mon petit trou béant qui attendait avec impatience le passage de ma mousse crémeuse. Je reprenais mes efforts et là, sans entrave, en laissant échapper un long et perçant Floreeeeeeeeeeee... Une salve traversa mon gland, se répandit dans les airs et me toucha à l'épaule, une deuxième presque aussi violente m'atteignit en plein cœur et un dernier flot, tel un jet d'eau alimenta mon nombril pour le transformer en un petit lac laiteux. Flore en profitait pour mettre son doigt sur le méat encore dilaté empêchant le reste de ma gelée de s'écouler. Je sentais à nouveau mon canal se gorger des restes, je continuais mes va et vient. Flore, diabolique, ôta son doigt. J'eus une dernière petite décharge. Le reste coulait de part et d'autre de mon sucre d'orge encore énorme. Flore avait fermé un instant ses jolis yeux, une ondulation de son corps me dit qu'elle vivait un petit orgasme sur la réplique de mon harpon bleu. Elle se ressaisit en retirant l'objet de son vagin, plongeait son index gauche dans mon lac puis avec ce doigt humide elle me touchait le nez avec un malicieux sourire. De sa main droite elle me prenait à nouveau. Elle me pressait mon bout pour tout expulser vidant mon conduit puis elle déposait sa bouche sur le gland encore congestif, m'enserrant ma couronne de ses lèvres, elle continuait de me pomper pour me vider complètement. Je sentais sa langue s'attarder sur mon méat encore tout tétanisé. Sa main gauche étalait sur mon buste toute ma crème en de délicieuses caresses. Je sentais l'odeur de mon sperme. J'étais apaisé et dégustais ce merveilleux moment. C'est alors que je nous vis sur l'écran plat de notre chambre; elle avait mis en route la caméra HD placée pour couvrir cette table ou notre lit. Je me doutais bien qu'elle devait avec ses trois amies en visionner de temps à autre de nos vidéos ! Tous les deux nous aimons aussi nous repasser nos scènes. Dans ces yeux, je voyais tout le bonheur qu'elle retirait de ma jouissance. Flore est ma perle, la seule capable de tant me donner, de tant se donner.
J'étais toujours énorme et surtout prêt à la combler à mon tour. Flore sachant que j'allais la prendre par sa petite rosace s'était installé en travers de la table qu'elle avait placé à la bonne hauteur, la tête légèrement sur le côté me laissant apercevoir son sein droit qui ne demandait qu'à être cueilli, ses longues jambes étaient écartées... Elle m'offrait sa croupe parée de la brillance du pied de son plug. Je le faisais doctement tourner, le tirais..le poussais puis, l'extirpant prudemment, son puits totalement dilaté s'exhibait dans toute sa profondeur. Je caressais de mon autre main ses hanches ondulantes, sa peau était parcourue de petits soubresauts. Il faut dire que la première fois que j'avais voulu prendre Flore par son petit trou, elle s'y était refusée et m'avait posé comme condition qu'elle puisse elle aussi jouer avec le mien. Elle utilisait dans mon anus soit un stimulateur prostatique soit un de ses godes et je dois dire que j'y prenais aussi du plaisir. Je n'ai jamais eu de relations avec un homme mais pourquoi pas si l'occasion se profilait... Je caressais sa superbe chute de rein. Je la pris dans mes bras et l'emportai dans notre chambre. Je l'allongeai sur le dos pour la voir. Je ne suis pas un fan de la pénétration par derrière. La vue de son visage me permet de prendre plus facilement sa cadence, de voir si cela lui est plus ou moins agréable en étant réactif aux diverses mimiques exprimées. Mes sensations s'en trouvent renforcées et ajoutent au plaisir que je ressens en faisant tout pour la combler, au mieux de ses attentes. La voir venir sous moi ou sur moi ajoute à mon ivresse.
Ses cuisses m'enserrèrent, remontant très haut ses longues jambes afin de bien se dilater. Je glissais mon gland de son minou à sa rosace et inversement. Je pris la pompe à clitoris, l'appliquais et je lui arrachais un petit cri pompant plus qu'à l'ordinaire; je débranchais la pompe ne laissant que ce magnifique bourgeon emprisonné dans le tube transparent comme prêt à éclore. De ma main droite je l'empalais doucement mais profondément jusqu'à la garde et je commençais mes aller et retour d'abord lentement ne ressortant que juste pour mieux pénétrer à nouveau. De ma main gauche je jouais avec le tube, sa semi-rigidité me permettait en pinçant de malaxer cette noisette arrachant à Flore de petits miaulements. Mon nectar montait à nouveau en moi tandis que Flore, à l'habitude, ruisselait de cyprine qui glissait sur ma queue, lubrifiant à souhait ma hampe, facilitant mes va et vient. J'augmentais ma cadence. Flore m'accompagnait de délicieux coups de rein; elle m'attendait, me regardant comme pour m'inviter à me libérer. Cela s'accentuait et je sentais monter la délivrance. Je sentis Flore contracter très fortement son sphincter anal pour m'emprisonner au plus profond de son être et décupler mon plaisir. Dans un fougueux râle, un dernier coup bestiale, un torrent emplit son petit cul... j'explosais l'inondant. Flore avait réussi à m'assécher une nouvelle fois les glandes. Je n'allais pas la laisser ainsi haletante. Je me retirais. Je m'empressais d'ôter la pompe. J'enserrais sa noisette en érection dans ma bouche et je la titillais en la pinçant puis en la relâchant. Son lac de cyprine coulait sous mes yeux, mes mains malaxaient savamment ses seins gonflés par l'amour. Je sentis son corps se redresser, sa vulve tressaillir... Je la reprenais par son autre orifice et je n'eus pas à attendre... Tans d'excitation, tant d'images l'avait affolée... Dans un dernier effort elle explosait à son tour. Elle m'attira sur elle et m'embrassa fougueusement. Cela se voyait qu'elle était heureuse et comblée. Elle me libéra en me souriant de plaisir et me demanda de la suivre dans la douche. Nous nous lavèrent mutuellement sans pouvoir nous passer de nous caresser ce qui avait pour effet de nous garder réceptif. Flore se fit une douche anale et mon sperme mêlé à l'eau glissait sur ses jambes écartées. Une fois que nous eûmes terminé, Flore me mis le dos au carrelage de la douche, mis ses bras autour de mon cou pour s'y suspendre, ses jambes m'enserrèrent la taille et elle s'empalait sur mon dard. Elle en voulait encore plus. L'eau de la douche coulait sur nos corps enlacés qui ondulaient en cadence. Flore voulait s'attribuer une deuxième récompense. Sachant que j'étais vidé, je savais qu'elle me demanderait juste de l'aider dans ses mouvements pour atteindre son orgasme. Elle désirait terminer cette partie en apothéose. J'allais pouvoir l'accompagner dans ses ondulations dans la quête de son plaisir. Je la prenais et l'emportais sur le lit. Je m'allongeais sur le dos, Flore me chevauchant, elle me lançait de violents coups de rein que je ne manquais pas d'amplifier la tenant fermement par la croupe. Leurs cadences s'intensifiaient. Flore ne mit pas de temps pour trouver la délivrance. Trop d'images la laissaient sur sa fin et il aurait été injuste de l'abandonner ainsi. Je la voyais là sur moi, rejetant tout son buste d'arrière en avant, la bouche grande ouverte inspirant profondément et dans un dernier élan elle vint s'écrouler près de ma tête, anéantie. Flore avait atteint cette plénitude qui suit ce violent et plus merveilleux des plaisirs donnés sur cette bonne vieille terre. Elle avait tout donné dans un ultime coup de rein. Elle restait immobile quelques minutes profitant de ce bien être irremplaçable. Nous nous sentions légers et toujours aussi amoureux. Nos langues se dévoraient dans de profonds et fougueux baisers langoureux. Flore garda mon sexe en elle et nous nous endormîmes tendrement enlacés, certains que nous méritions ce sommeil apaisant, en attendant nos prochaines délectations et nos infinis désirs d'utiliser nos autres jouets : Électro stimulateur d'urètre, douches anales partagées, spéculum de Collins, spermstoppeur, sonde d'urètre vibrante courte pour elle, longue pour moi, électro cockring bi-polaire, tout autre appareil d'électro-stimulation, étuis péniens et autres... Au fil de nos découvertes. Tous deux, nous rêvons de faire l'amour en apesanteur au moins une fois dans notre vie. Quel spectacle ce doit être de voir nos nectars se promener dans les airs ! Pourrons-nous réaliser ce rêve, nous le souhaitons !

Je ne peux terminer ce récit sans vous redire une chose TRÈS IMPORTANTE : Surtout stérilisez scrupuleusement et régulièrement la totalité, je dis bien la totalité de votre matériel en particulier lorsque vous jouez avec des sondes ou dilatateurs et entreposez vos jouets dans des boîtes stériles après les avoir passés en autoclave. N'hésitez pas à lubrifier en abondance ! Depuis peu nous nous sommes mis à "L'électro" qui donne encore beaucoup plus de jouissance mais prenez aussi toutes précautions dans vos manipulations : Il y a du courant électrique... Et c'est hélas plus dispendieux.

Pour nous contacter : sialorrhee@yahoo.com

7 octobre 2011

Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: Forêt,

Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman

Les maisons sont alignées, signe que toutes sont d'égales valeurs. Dans ce petit village où Jeanne à vu le jour, les citées ouvrières appartiennent toutes au patron de la manufacture textile.
A chaque enfant qui nait, la famille qui travaille pour Monsieur Dorger, reçoit un logement avec une pièce supplémentaire. Ainsi va la vie dans ce petit village des Vosges Saônoises.
C'est là que Jeanne a grandi, que ses formes se sont arrondies, que son corps de garçon manqué a éclot.
Elle vient d'avoir dix neuf ans et elle se prépare à passer sa première année de droit, comme une brillante élève à la faculté de droit de Besançon.
Mais aujourd'hui en cet été si chaud, elle flâne sur des chemins champêtres, sans but vraiment précis.
Ses pas l'ont conduit vers la seule habitation du village qui ne soit pas une propriété du patron de son père.
Elle se dirige par des sentiers dessinés dans les champs longeant l'orée de la forêt, ou plutôt ses pas la guident vers chez Christophe.
Lui c'est un garçon de son âge qui a fait l'école primaire dans les mêmes classes qu'elle.
Mais à quatorze ans, il a embrassé le métier de son père, il en est toujours ainsi dans les campagnes pour les fils de fermier.
De loin, alors que le soleil est au plus haut dans le ciel d'azur, elle sent la bonne odeur des herbes coupées de frais.
Là bas au loin, elle aperçoit de minuscules silhouettes qui s'affairent dans l'étendue des regains déjà bien secs.
L'une d'entre elle retient son attention et celle qu'elle regarde fixement se trouve torse nu, luisante de sueur. Sous la peau elle voit jouer des muscles durs, quelques particules de graines d'herbes sont collées sur les bras et cela rend le tableau touchant.
L'autre homme est plus âgé, sans doute « le Marcel » le père de Christophe.
Puis il y a la » Toinette », la maman, qui, son large chapeau de paille sur le crane, vaque généreusement, un râteau virevoltant dans les mains.
Jeanne aime cette vision des choses simples, cette image d'Epinal de la vie qu'elle imagine libre.
Elle se place un peu à l'écart sur le sentier qui se trouve à l'ombre, sous le couvert des premiers sapins de la montagne.
Là à quelques dizaines de mètres, ils n'ont pas décelé la présence de la jeune fille. Jeanne s'est assise dans l'ombre et elle observe la famille qui roule la seconde coupe des foins appelés ici « regain ».
Ils ont finis par tracer plusieurs longues lignes où l'ensemble de la coupe est rassemblée.
Maintenant ils sont assis eux aussi et Jeanne voit jouer les muscles de Christophe qui sort d'un panier d'osier qui se trouvait jusque là, plongé dans le ruisseau, une bouteille.
Tour à tour, en commençant par la « Toinette » tous boivent un peu de liquide qu'elle devine être de l'eau mélangée à du sirop de sureau. Ils boivent une lampée, à même le goulot, on ne s'embarrasse pas de verre à la campagne.
- Bon et bien attendez moi ici, restez donc à l'ombre. Je vais chercher le cheval et la charrette et nous ferons les bottes de foin !!
C'est Christophe qui dit cela tout en se levant et Jeanne voit le garçon qui remonte le long du chemin qui mène à leur ferme.
Elle se dit qu'il y a au moins trois kilomètres pour se rendre à la maison dont on devine les toits rouges, dans les premiers contreforts de la montagne.
Il marche vite et il ne reste de lui que ce petit point bleuté, il a remis sa chemise pour regagner sa demeure.
Jeanne se dit qu'elle va continuer sa balade, alors que ses yeux suivent ce point qui continue de rétrécir au loin.
Juste avant de se lever, elle jette un regard vers le « Marcel et la Toinette ». Ses yeux se figent sur une scène que sa jeune vie n'oubliera plus jamais.
Marcel est couché sur la mousse, au pied d'un immense chêne et elle voit Toinette qui lui baisse le pantalon. Oh !! Pas complètement. Mais la ceinture est ouverte et la braguette du velours est dans la même position.
Puis les choses se déroulent rapidement sous les yeux effarés de la voyeuse malgré elle.
Toinette a sorti du pantalon une tige de chaire un peu mate, Jeanne comprend que c'est le sexe de Marcel que sa femme tient dans sa main.
Elle regarde cette main qui monte et descend sur l'engin et de temps en temps, elle voit apparaitre sur le dessus, un endroit qui lui semble plus rose, plus lisse aussi.
Jeanne n'ose plus bouger, de peur de faire du bruit, de se voir découverte pas ces deux là.
Il faut dire aussi que si elle a déjà vu un zizi c'était celui d'un enfant, minuscule et flétri dans ses langes de tissu.
Ce que tient la « Toinette » n'a rien de l'objet qu'elle connait. Celui-ci semble long, comme un jour sans pain, dur comme un piquet de parc.
Elle n'imaginait pas non plus que c'était ainsi que l'on s'en servait. Elle regarde en retenant son souffle, elle écarquille les yeux.
Maintenant la femme s'est penchée sur son homme. Sa bouche s'est approchée de l'engin qui reste menaçant, du moins le crois, le pense-t-elle.
Jeanne voit Toinette prendre entre ses lèvres le truc énorme de Marcel et elle entend celui-ci gémir doucement.
Lui a posé ses grosses pattes sur la tête de son épouse et il semble donner la mesure pour que celle-ci fasse des allers et retours sur la bite. Par moment la jeune fille voit le bout de la langue de la femme qui vient tourner sur le dessus de la queue et qui lèche de haut en bas comme pour une glace à l'eau.
C'est étrange aussi, voici que les mains de Marcel se déplacent sur le dos de la Toinette. Il a également ouvert la blouse de la femme et ses doigts farfouillent dans son corsage. A la grande stupeur de Jeanne, elle voit sortir des linges, un sein blanc, un sein lourd.
La main aux doigts agiles commence à triturer le nichon que la jeune fille ne peut s'empêcher d'envier. Puis ils s'attardent sur l'aréole brune, au bout sombre qui pointe tellement il est gros.
Le second sein subit un sort identique et pourtant la femme continue de sucer le jonc sans se préoccuper de savoir ce que les mains de son mari fricotent.
Marcel vient maintenant de renverser sa femme sur le dos, et il lui monte dessus. Les mains sont passées des seins aux cuisses, remontant sans ménagement, le bas de la robe.
Les cuisses sont fortes, solides, et pour avoir plus de liberté dans ses mouvements, l'homme baisse encore plus son pantalon de velours.
Dans les efforts qu'il fournit pour se mettre dans la position qu'il désire, le couple a légèrement tourné et c'est une vue superbe qu'il présente aux regards de Jeanne.
Elle voit deux fesses joufflues, blanches aussi, et surtout elle voit entre les jambes de Marcel la chatte de Toinette.
Une touffe de poils impressionnante, noire et en bataille. Dans ceux-ci, les doigts d'abord, puis le sexe de l'homme se frayent un passage. Toinette pousse un cri, pas un cri de peur ou de douleur, non juste un gémissement comme un bien-être indescriptible.
Elle voit les couilles de Marcel qui tressautent chaque fois qu'il s'enfonce dans la chatte des sa femme.
Elle les entend qui respirent plus fort, alors que les mains aux ongles sales de Toinette s'agrippent à la chemise de son époux.
Combien de temps durent ces mouvements cadencés où elle les regarde danser, elle les observe faire ce que communément tous appellent « l'amour ».
Jeanne n'a plus aucune notion de l'heure ni du temps, mais son regard est attiré par le bout du chemin.
Le petit point qui grandi, c'est le cheval et la charrette, lesquels sont suivis par Christophe.
D'où il se trouve encore, il ne peut rien voir de la scène qui se déroule sous les yeux de la jeune fille.
Et eux ne le voient pas non plus, du reste ils continuent leur affaire et c'est dans un grognement terrible qu'elle voit Marcel sortir comme un beau diable, sa queue du minou de Toinette.
Elle, elle râle de ce plaisir retiré trop vite, et lui, lui lance des jets de quelque chose de blanc et visqueux sur la chatte.
Ses poils sont tout poisseux mais cela sembles sans importance puisque les deux amants s'embrassent encore sur la bouche.
Marcel est le premier à se remettre sur ses pieds. Il réajuste son velours et remonte au devant de Christophe.
Toinette se dirige vers le ruisseau, elle tient dans sa main sa culotte de coton blanc qu'elle n'a pas remise.
Jeanne la voit qui s'accroupit devant le torrent, puis d'une main, elle puise de l'eau et se met en devoir de se laver la foufoune.
Ils reprennent ensuite tous les trois leurs activités normales, comme si rien ne s'était passé, sauf que pour Jeanne, c'est son baptême d'amour qui vient d'avoir lieu.
En quelques minutes elle vient d'en apprendre sur le sexe, bien plus que ses parents ne lui en ont dit en dix neuf ans.

Encore de longues minutes, Jeanne reste dissimulée dans son petit coin ombragé. Elle a du mal à croire ce qu'elle a vu mais il faut bien se remettre en marche. Elle se relève, lisse un peu sa jupe froissée, et elle est toute chose, toute tremblante.
L'émoi que les ébats champêtres des deux fermiers a provoqué, est ancré en elle. Elle a cette espèce de chatouillis qui lui monte dans le bas du ventre. Rien de bien grave se dit-elle, rien qu'elle ne puisse gérer.
Pourtant les images sont gravées dans sa mémoire, indélébiles et mouvantes, un autre monde qui vient de s'évanouir, celui de l'innocence, mais il laisse libre cours à celui des amours naissantes.
Jeanne remonte lentement le chemin, elle a des drôles de refrains qui lui montent aux lèvres, elle fredonne.
Devant elle, trois paires d'yeux viennent de détecter sa présence sur le chemin et Christophe tire sur les rennes du cheval. L'animal massif s'arrête pile, à la première sollicitation de son maître.
Ils la connaissent, cette jeune fille qui déambule sur le chemin. Marcel lève la main, Toinette crie un bonjour et le fils reste muet.
Cette fille lui a toujours fait un effet bizarre. Il ne sait pas pourquoi, mais il est toujours bouleversé, quand il l'aperçoit au village.
Plusieurs fois il s'est arrangé pour se placer derrière elle, à la chapelle. C'est vrai, il n'y a pas d'église à « La Longine », juste une petite chapelle sur un terrain du patron.
Il est de bon ton de se rendre à l'office chaque dimanche. Madame Dorger s'arrête parfois, à la sortie et elle parle un peu des études des enfants. Elle a toujours un fort accent d'Italie, mais la dernière fois qu'elle a croisé Jeanne, elle avait dans son sac une petite enveloppe, qu'elle lui a remise en lui caressant la joue.
A la maison la jeune fille a trouvé cinq beaux billets de cent francs, un sérieux coup de main pour payer la chambre à la fac.
Puis il y avait aussi juste quelques mots bien écrits en jolis pleins et déliés, sans doute à la plume « Sergent Major ».

petit geste pour une étudiante hors du commun.
Suivait une signature.
Dolorès et Carlos Dorger

Mais Christophe lui se met à la messe derrière Jeanne, non pas pour entrevoir ou espérer les largesses de Madame Dorger, mais pour sentir le parfum dont s'asperge la jeune fille.
Il hume « le sent-bon » et garde avec lui la délicate fragrance de l'eau de toilette de Jeanne, pour la semaine entière.
Toinette s'est approchée de la promeneuse, juste pour parler. Elle n'a pas souvent le loisir de discuter et puis si « des fois » il y a avait un potin à glaner.
Son mari l'a suivi et jovial, il tend la main à la demoiselle, alors que sa femme l'embrasse. Dans l'esprit de Jeanne, il reste le marivaudage de tout à l'heure et elle a tous ses sens en éveil.
A part les yeux peut-être un peu plus brillants que d'ordinaire, rien ne transparait sur le visage de la femme, rien ne laisse supposer que son mari et elle viennent juste de faire la « bête à deux dos ».
Puis c'est Christophe qui s'avance aussi, pour être poli. Il serre la main de Jeanne, un poil trop fort sans doute, mais il n'y peut rien, elle lui a toujours fait de l'effet.
Il traine avec lui depuis les bancs de l'école l'image des tresses brunes de Jeanne et puis son sourire. Il aurait aimé qu'elle le regarde, ou plutôt qu'elle ne regarde que lui. Comment expliquer que son cœur parfois s'emballe juste d'y penser, et là, la voila devant lui.
Elle fixe ses parents, Christophe est perplexe. Pour une fois qu'il a l'occasion de la voir seule, il y a ses parents. Il aurait bien fait un petit bout de chemin avec elle.
Les discussions vont bon train et les uns et les autres prennent des nouvelles. Ici la vie est rude et voir « du monde » est une sorte de bonheur.
Les parents s'enquièrent de la santé des gens du village en général et de la famille de Jeanne en particulier. Christophe lui, dévore la jeune fille du regard.
Quatre longues années qu'il vit avec son souvenir, quatre ans à avoir des flashbacks sur tel ou tel souvenir de cette fille.
Il ne sait pas pourquoi et son regard est dans celui de Jeanne, empêtré dans un monde ensoleillé. Il la voit comme un homme regarde une femme, il a d'instinct senti qu'elle est devenue, enfin presque une femme à part entière.
Marcel, même s'il devise gentiment avec Jeanne, jette un coup d'œil furtif à son rejeton.
Lui c'est un homme de la terre, il a le sens des réalités, il garde l'esprit ouvert et il sent que son « gamin », vit son premier émoi.
Au pif, il a saisi que son garçon a un béguin pour cette jolie petite brune et il revoit, comprend aussi ces histoires de vouloir aller à la messe, mais de se mettre dans un autre banc.
Il a déjà vécu tout cela pour sa Toinette, lui, et il compatit. Il se dit qu'elle est trop belle, qu'elle va aller à la ville, enfin c'est ce qui se dit au bistrot du dimanche. Il parait que c'est une savante, une de celles qui ont plus de tête que de bras, enfin une qui a de l'instruction.
Mais il pense aussi que son père est un « filateur » de Dorger, un ouvrier et qu'il n'y a aucun mal a vouloir que ses enfants soient mieux que ce que l'on est.
Enfin lui, Marcel il est heureux, son fils va reprendre sa succession, bon quand y sera plus en âge de travailler, hein !! Il a encore un peu de temps, mais bon, il est heureux.
Et Toinette qui parle, qui parle, encore et encore.
Mais elle fait soudain le jeu de Christophe.
- Vous pourriez passer à la maison un de ces jours, je vous donnerai des œufs et des patates pour votre maman.
C'est qu'elle a l'air de rien comme ça la Toinette, mais elle a bien vite saisi. Oh ! Bien-sur en femme avisée et dévouée, elle n'a jamais rien dit. Elle n'a même jamais fait mine de rien.
Mais elle a vu à la face réjouie de son fils que c'était le moment, il faut bien que les choses soient parfois aidées, non ?
Jeanne se voit invitée et elle est surprise par cette envie de dire oui, cet incroyable besoin de revenir vers ces gens simples, mais si vrais.
Elle est à quelques centimètres de Christophe et elle sent son odeur, la transpiration n'est pas toujours mauvaise, ce serait même attirant dans ce cas là.
Sous un regard détaché, elle n'en reste pas moins attentive et sans plus réfléchir, elle se jette à l'eau en répondant qu'elle peut passer dimanche, après l'office.
- Vous n'avez qu'à venir manger avec nous, on pourra papoter.
C'est encore Toinette qui force les choses mais personne ne la dissuade cette fois et les sourires réjouis en disent plus longs que tous les mots du monde.
Jeanne a repris son chemin, mais elle ne se rend compte que d'une chose, c'est qu'elle va déjeuner chez Christophe, avec Christophe dimanche à midi.
Pourquoi ce fait si simple la met-il dans un pareil état ?
Elle ne flâne plus, elle va d'un bon pas pour rejoindre la route qui la ramène aux citées du « Point du jour » ou elle réside avec ses parents.
Le reste de la semaine se passe avec, en toile de fond cet échange bucolique entre Toinette et Marcel et cette envie de revoir Christophe. Elle ne saurait dire quelles sont les images les plus fortes dans son esprit.

Les cloches de la chapelle appellent les fidèles à venir rendre grâce. Dès l'ouverture des portes, Jeanne, prend sa place habituelle, entourée de ses parents. Elle n'écoute pas le brouhaha des gens qui entrent dans le lieu de sa dernière attente.
Elle a mis sa plus jolie robe, s'est légèrement maquillée, et puis elle a terminée sa toilette par le plus précieux des parfums, un numéro cinq de Chanel, sorti tout droit d'un flacon que sa mère camoufle dans une commode depuis des années sans doute.
Elle en a peut-être même un peu trop mis, les ouvriers qui sont à la messe la regardent, ou bien n'est ce finalement qu'une impression ?
Voila c'est fini et sur le parvis, les deux familles sont réunies. Encore la Toinette qui discute avec la maman de Jeanne, et elle l'entend qui dit :
- Si vous n'avez rien de prévu, vous pouvez aussi venir manger à la maison. On a cuit le lapin et c'est la grand-mère qui s'occupe du repas.
Finalement, après un court dialogue tout le monde repart vers la ferme des « Tisserand ». C'est le nom de famille de ces braves gens, qui emmènent avec eux Jeanne et ses parents.
La charrette du foin sert aussi de véhicule pour venir au village, il faut dire qu'à part le car qui fait les allers et retours à Luxeuil les bains ou à Rupt sur Moselle, il n'y a que deux voitures ici. Celle de l'instituteur, celle de Monsieur Dorger, auxquelles il convient d'ajouter quand-même, le dimanche, la « deux chevaux » du prêtre qui vient de Corravillers pour dire la messe.
Pendant les trois jours qui ont précédé ce repas, Jeanne a sans arrêt pensé aux muscles du jeune homme. Les images de ses parents se donnant du plaisir sont revenues aussi sans cesse et elle a cédé un matin aux songes érotiques qui la submergeaient.
C'est dans la salle de bains, sous la douche que pour calmer la bête qui montait en elle, sa main s'est portée entre ses deux cuisses.
La sensation de faire mal, d'être sale s'est vite estompée et le savon a fait naitre en même temps que la mousse, une autre délicieuse certitude.
La corole de sa fleur s'est légèrement entrouverte et la chaleur s'est trouvée différente, plus intérieure, plus enfouie en elle.
Sa respiration s'est raccourcie, puis saccadée alors que les doigts donnaient une autre forme à ses visions de ce sexe tendu qui dansait derrière son front. Jeanne s'est pliée en deux sous l'assaut de la jouissance inconnue qui lui a scié le bas du ventre, et elle devine que ces doigts ne sont que les instruments qui servent à exorciser cette tension qui la surprend depuis trois jours.
La petite fille sage devient une femme, avec ses désirs, ses envies, ses besoins aussi.
La table est nappée de blanc, signe ici que l'on reçoit des invités de marque, des amis de cœur.
La grand-mère, ne dit pas un mot sur le seuil de la porte, elle se contente de sourire. Elle s'efface pour que puissent passer les invités et immédiatement, ils sont dirigés vers la salle à manger.
La dentelle blanche fait ressortir des assiettes simples aux liserés dorés. Toinette place ses gens. Une femme en face d'un homme, et la place du bout c'est pour la Mamie, qui est veuve depuis si longtemps.
C'est donc tout naturellement que Jeanne se retrouve en vis-à-vis de Christophe, ici le hasard n'a pas sa place. Tout est orchestré par la maitresse des lieux.
Marcel a sorti les vins de noix et de groseilles, deux jus de son cru personnel. Un apéritif qui est digne de la sympathie qu'il porte à ses hôtes.
Tous boivent religieusement les breuvages, rouge ou sombre, selon que l'on ait choisi l'un ou l'autre des vins.
Puis c'est l'heure du repas, mais avant la Grand-mère trace le signe de la croix sur le pain, récite ensuite un bénédicité de circonstance et enfin les entrées font leur apparition.
Les œufs de la ferme ont été mis à contribution, autant pour fabriquer la mayonnaise que pour être farcis avec un savant mélange de thon et de jaune écrasé, lequel s'est retrouvé en place dans les blancs, cuit dur.
Puis c'est le lapin, agrémenté de ces pommes de terre dont Marcel vend la quasi-totalité aux gens du village.
Et dans un brouhaha de jour de fête, le dessert arrive sous la forme traditionnelle d'une tarte aux myrtilles, celles–ci cueillies en juillet, sont stérilisées dans des bouteilles de verre et peuvent ainsi être conservées des années durant.
Les sourires disent combien le repas est une réussite.
Mais Jeanne est, elle, perdue dans d'autres pensées, combien plus obsédantes. Christophe n'a pas cessé de plonger ses regards au fond de ses yeux et elle s'est presque sentie déshabillée. Et puis cette insistance franche, alors que de temps en temps un pied venait flirter avec le sien, lui a mis une sourde chaleur, pareille à celle qui a activée ses doigts sous la douche.
Le repas terminé, le garçon lui demande au vu et su de tous si elle veut faire une promenade avec lui.
Jeanne veut bien aller se dégourdir les jambes et surtout elle pense que bouger calmera cette chose qui lui creuse les reins, qui lui donne des coups d'aiguilles au fond du ventre.
Lui se révèle être un charmant jeune homme, qui connait bien tous les sentiers de la propriété de ses parents. Ne sont-ils pas les gens les plus importants ici, après Monsieur Dorger ?
Lentement leurs pas les emportent vers un endroit plein de souvenirs pour elle, un endroit de découverte et elle se laisse guider. Christophe au bout de dix mètres, enfin dès qu'il s'estime hors de vue des fenêtres de la ferme, prend la main de Jeanne dans la sienne.
Ils sont là où les corps des parents de ce jeune homme se sont rapprochés, au point d'en ouvrir des perspectives insensées à la jeune fille.
Elle regarde la mousse et l'humus où rien ne semble être arrivé, et dans ses yeux un étrange éclat fuse. Celui-ci n'échappe en rien à son accompagnateur, lequel ne peut pas se douter de ce qu'elle revoit.
Lui prend cela pour une invitation à oser et il serre plus fortement cette main qui est dans la sienne.
Alors elle se tourne vers lui et le regarde, comme dans une pulsion irrépressible, son visage avance vers le sien et le garçon ouvre ses bras pour loger cette petite chose tremblante qu'est cette nouvelle Jeanne.
Contre son torse viril, il sent vibrer doucement le petit bout de femme qu'il étreint puis dans un élan commun, les visages se tournent l'un vers l'autre. La bouche de Jeanne prend contact avec celle de Christophe, leurs lèvres se soudent dans un premier baiser malhabile mais tellement excitant.
Lui a laissé glisser sa langue dans la bouche de celle qu'il retient d'un cœur battant contre sa poitrine et elle s'accroche de peur que son partenaire s'écarte, lassé par sa maladresse.
Alors qu'elle est recroquevillée contre ce corps qu'elle veut absolument conserver, elle sent cette chose dure, cette chose inquiétante qui bat contre sa cuisse.
Lui n'ose plus regarder ailleurs que par-dessus l'épaule de celle qu'il aime déjà, de crainte qu'elle ait senti son trouble, impossible à cacher du reste.
Jeanne n'est pas effrayée, tout au plus flattée de faire autant d'effet à un grand et fort gaillard comme lui.
Elle sait que ce soir elle dormira dans son lit, au « Point du jour » mais qu'elle sera femme pour l'éternité. Instinct féminin direz vous !!! Certitude de femme sans aucun doute.
Elle vient de comprendre que c'est à l'endroit où trois jours auparavant deux êtres faisaient l'amour, que sa virginité va disparaitre pour toujours. Mais elle doit aussi faire comme Toinette, c'est-à-dire provoquer les événements, de peur que lui n'ose pas. Elle pousse gentiment le grand garçon contre le fût du chêne et elle reste écrasée contre son corps.
Ce faisant, elle fait semblant de se rattraper après lui, comme pour éviter une chute et ses doigts s'accrochent. Ils s'incrustent presque dans quelque chose de dur, quelque chose de fort qui semble déformer le pantalon du garçon.
Lui ne peut plus reculer et il soupire d'aise en sentant les doigts de la jeune fille qui glissent sur son sexe tendu par l'envie.
Maintenant il a compris que cette envie d'elle est communicative, que Jeanne le désire également et il l'embrasse de nouveau, mais tellement plus passionnément, plus ardemment.
Puis il envoie ses mains en éclaireur sur un corps qu'il veut découvrir. D'abord c'est le cou de la jeune femme qui est l'unique but de ses doigts qui trépignent d'impatience, et enfin la poitrine est là palpitante, encore vêtue mais déjà tellement pleine de promesse à venir.
C'est fébrile qu'il ouvre la tunique de la fille de ses rêves, et enfin dans la clarté du jour, le soutien-gorge quitte la peau laiteuse de la demoiselle.
Jeanne tremble et adore ces mains qui courent sur ses seins, quelle merveilleuse sensation que celle de cette paume chaude qui frôle le satin bien lisse de ces deux fruits de femme.
Et c'est encore plus doux quand c'est la langue un peu humide qui vient encercler le téton de l'un d'entre eux alors que l'autre roule sous deux doigts qui ne lui font pas mal.
Elle secoue sa tête d'avant en arrière en émettant de petits sons, singulièrement ressemblant à ceux d'une autre femme qui en ce même lieu, trois jours plus tôt, lui ouvrait la voie à des désirs inavouables.
Les événements se précipitent et Christophe a maintenant guidé ses mains vers d'autres endroits beaucoup moins conventionnels, découvrant pour la première fois, lui aussi, un corps de femme.
Quand à Jeanne, elle a bien retenu la leçon donnée en direct par une Toinette qui semblait aimer cela.
C'est avec un peu de peine qu'elle a réussi à déboutonner le pantalon du dimanche du garçon. Ses doigts se sont posés sur la tige qui lui a donné l'impression d'un fer chauffé à blanc. C'est dur, c'est tendu, mais c'est aussi vivant dans sa main. Elle esquisse un mouvement comme le faisait Toinette et devant ses yeux grands ouverts, attentive elle voit le bout rose qui apparait, lisses au toucher, chaud aussi. Elle débute son mouvement du poignet ; lequel consiste à retrousser la peau qui masque cette tête qui l'attire, qui la ravit.
A chaque fois que ce morceau de Christophe apparait elle écoute aussi le gloussement de bonheur que le jeune homme laisse échapper.
En ce qui le concerne, il n'est pas resté inactif et ses mains aux doigts aventureux sont descendues entres ces cuisses blanches et d'une douceur incomparable.
Jeanne sous la douceur de la caresse en lâche sa proie, et elle se berce de gauche et de droite, savourant les délices que lui procure le passage d'un index câlin.
Les doigts ont écartés les deux lèvres du sexe et l'un deux a commencé un ballet digne d'un soir de fête, découvrant presque par hasard le petit pic qui se cachait à la commissure de celles-ci.
Juste en effleurant l'ergot de chair rose, décapuchonné par le mouvement, elle se sent électrisée de partout. Un spasme parcourt son corps tout entier, la secouant de haut en bas et elle ne peut retenir un cri que l'homme prend pour une douleur. Il suspend son action et Jeanne lui plaque une main sur ses doigts juste pour qu'il comprenne que c'était juste du bonheur.
Christophe a vite saisi et son index maintenant trace des cercles concentriques sur ce minuscule pieu qui la fait grimper vers les nuages.
Elle se tord, râle de bonheur et puis soudain, sans que rien ne le prévienne, la main du jeune homme est inondée par un liquide qu'il découvre.
Il reste là, à la regarder se tortiller de longues minutes, à la voir jouir si fort qu'elle lui griffe le dos, le bras et que s'il n'y prenait garde elle tracerait sur son visage, des sillons rouge sang avec ses ongles.
Petit à petit elle reprend son souffle, elle redevient calme et sa menotte reprend le précieux objet que son départ pour Cythère lui a fait longuement oublier.
Elle frôle la hampe toujours aussi raide, décalotte le gland, puis se remémore la Toinette et revoit sa bouche se poser comme un papillon sur la tige chaude.
Elle approche alors lentement ses lèvres du pistil fièrement élancé vers le nombril du garçon et sur le bout rose, elle laisse glisser sa langue. La texture est indescriptible et elle se prend au jeu, enfonçant le mat un peu plus dans son palais, continuant également à faire tourner sur l'ensemble sa langue. Elle s'étire les mâchoires pour que l'objet puisse entrer encore plus profondément, surprise par la grosseur de cette queue qui semble encore avoir pris du volume.
Les yeux mi-clos, elle laisse faire, c'est magique, c'est bon, ça ne fond pas et Christophe commence à onduler du bassin, elle, n'ayant plus qu'à contenir cette bite qui va et vient dans sa gorge.
Le temps n'a plus d'importance, le jour ou elle va devenir une femme à part entière est enfin là.
Christophe n'a aucune expérience, c'est la première fois qu'une femme le touche, qu'une femme est si proche de lui, qu'il peut la respirer de la sorte.
Il en a rêvé de la tenir dans ses bras, et elle est ici, avec lui, réalisant, au delà de ses espérances ce qu'il désire le plus au monde.
Elle lui a mouillé toute la main, puis elle a pris en bouche son phallus qui reste dur comme un pieu.
Il ne peut plus rien dire, juste concentré sur cette caresse qui lui donne des vertiges. Il se sent que comme quand il se masturbe, son jus va bientôt monter. Il n'ose pas lui dire, il ne fait rien pour arrêter le bouillonnement qui va laisser échapper sa sève. Et quand enfin à l'intérieur de sa tige la jute monte, il est trop tard pour faire ou dire quoi que ce soit.
De ses deux mains, avec un râle de bonheur, il se cramponne aux cheveux de Jeanne, appuyant sans s'en rendre vraiment compte sur sa tête. Elle est prisonnière de la force de ce gaillard et quand le liquide chaud lui arrive par jets dans la gorge, elle ne peut pas se reculer pour qu'il coule ailleurs que dans sa bouche.
L'offrande est conséquente et elle avale en s'étranglant la majeure partie de la semence abondante du jeune homme.
Ils sont l'un contre l'autre, lui, lissant ses cheveux bruns, elle, caressant son torse velu.
Ils restent ainsi de longues minutes, en attente, ressentant les moindres vibrations, les plus petits effluves venant de l'autre.
Contre la cuisse de la jeune femme, le sexe qui pendant quelques minutes s'était fait plus discret, vient de reprendre une vigueur surprenante.
Alors qu'ils s'embrassent, que dans un baiser passionné, les deux tourtereaux scellent cet amour tout neuf, le torrent tout près chante son ode à la vie.
Christophe s'est juste déplacé un peu et son corps et venu couvrir celui de Jeanne. Elle n'a rien fait d'autre que d'ouvrir le compas de ses jambes pour lui faciliter la tache.
Tout naturellement, le sexe du garçon a trouvé sa voie entre les poils pourtant bien rangé de la femme.
Le bâton a cogné une première fois à la porte encore close, sans grand succès. Par un autre à coup la tige a quelque peu avancé et a écarté les lèvres du minou de Jeanne.
Elle se crispe un peu, angoisse d'avoir mal, peur de ce qui va devenir une première fois. A l'entrée de son vagin la chose rampante et palpitante, fait des allées et venues, sans oser s'enfoncer d'avantage encore.
Elle creuse ses reins comme pour livrer passage à la bête, qu'elle craint tout en la désirant au plus fort de son ventre.
Elle se dit que peut-être Christophe aussi est comme elle, qu'il a peur de ce moment là, qu'il ne veut pas lui faire mal et elle se dit qu'il ne va pas oser aller plus avant.
Elle creuse encore son ventre un peu plus, puis dans un grand cri elle projette son bassin en avant, se plantant littéralement sur la queue du garçon.
Une déchirure, comme un coup de poignard, une brulure coupe le souffle de la jeune femme, et le sexe masculin se fraye enfin le chemin en elle. Il va, revient, repart et la douleur qui s'estompe, laissant la place à une sorte de bonheur, la soulage de ses dernières craintes.
Ils s'aiment longtemps, elle crie souvent, il s'attache à elle comme un naufragé qui cherche son salut.
Dans le déclin du soir, repus, ivres d'amour, elle est devenue Femme avec un F majuscule, ce F majestueux qui lui assure la plénitude d'un bonheur nouveau et Christophe la serre dans ses bras, avec au fond des yeux une lueur d'espoir
Ils ont pendant des heures appliqués un vieil adage des filateurs qui dit : "Dix fois sur le métier remets ton ouvrage." et c'est avec chaque fois encore plus d'envie, plus de plaisir que leurs corps, leurs ventres se sont mariés tout au long de leurs ébats amoureux.
Quand dans un dernier baiser ils décident qu'il est temps de retrouver les familles qui doivent se demander où ils sont partis, Jeanne tourne la tête et ses yeux cherchent l'endroit ou trois jours plus tôt, tout à débuté.

Elle se demande si aujourd'hui aussi, une ou un voyeur s'est rincé l'œil de leurs amours débutantes, si eux aussi seront le point de départ d'une autre histoire !!!



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7 octobre 2011

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